L’amendement concerné permettait à la communauté éducative de demander, en cours d’année scolaire, un changement d’orientation des élèves handicapés. Jusque-là, pas de soucis si ce n’est qu’il ne mentionnait pas explicitement la nécessité d’obtenir l’accord des parents pour cela. Il était simplement proposé que soit pris en compte leur avis.
Pour le ministre, il s’agit davantage d’un problème de formulation que de choix politique délibéré, assurant de son « engagement total » en faveur d’une « école inclusive ».