Le 29 janvier 2014, Vincent Peillon a adressé une lettre aux directeurs d’école et chefs d’établissement. Il y dénonce « les mensonges et les rumeurs » qui « s’attaquent à la mobilisation du ministère contre les inégalités entre les filles et les garçons ». Il incite à entreprendre des démarches de rencontres vis-à-vis des parents qui auraient suivi cette consigne de boycott des cours.
Il y indique également que tout enseignant accusé ou menacé à cette occasion bénéficiera bien de la protection, par l’État, qui est due à tout fonctionnaire dans ces cas-là.