La Cour des comptes imagine plusieurs scenarii concernant l’évolution des activités sportives volontaires dans le second degré. Deux options se présentent :
- soit « le maintien d’un système fédéral reposant sur un réseau associatif et s’adressant uniquement à des élèves volontaires »,
- soit « une intégration directe de l’organisation des compétitions scolaires au sein même de l’Éducation nationale, éventuellement dans le cadre de l’enseignement obligatoire ».
Cette dernière piste aurait le mérite de mobiliser des postes d’enseignants d’EPS, facilitant ainsi le contrôle de ces activités. Si l’on ajoute à cela des résultats jugés peu satisfaisants et une critique de la gestion de l’UNSS, le tableau n’est pas reluisant…