« Les personnes ont besoin non pas qu’on nourrisse leurs enfants, mais qu’on leur donne les moyens de le faire. C’est pourquoi nous n’étions pas très preneurs de cette mesure », énonce Claire Hédon, présidente d’ATD Quart Monde qui en revanche se réjouit de la mise en place des repas à 1 € dans les cantines scolaires.
Les membres de l’Association nationale des directeurs et des cadres de l’éducation des villes et des collectivités territoriales (Andev) ayant mis en place cette mesure font remonter qu’elle a pour conséquence que nombre d’enfants prennent leur petit déjeunent deux fois jusqu’à ce que les parents, s’en rendant compte, ne servent alors plus de petit déjeuner à leurs enfants.