Contexte
La réforme des rythmes à l’école primaire de 2013 devait permettre de mieux répartir les heures de cours sur la semaine, d’alléger la journée de classe et de programmer les enseignements aux moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande. Au-delà du respect des rythmes biologiques naturels des enfants par l’intégration des temps de repos nécessaires à chacun, cette réforme devait permettre d’assurer un meilleur équilibre entre temps scolaire et périscolaire en favorisant des activités sportives, culturelles ou artistiques dans le cadre d’un projet éducatif territorial (PEdT).
Depuis le 20 juin 2018, le PEdT peut annexer un plan mercredi, projet périscolaire de la commune, labellisé par l’État, validant ainsi la qualité de ses activités sportives, culturelles ou artistiques fondées sur le socle commun de connaissances, compétences et culture que doit avoir acquis tout élève à la fin de sa scolarité obligatoire.
Un PEdT peut être conçu sans plan mercredi, mais le plan mercredi ne peut exister sans PEdT. Cela donne lieu à deux conventions : une pour le PEdT, l’autre pour le plan mercredi.