C’est une obligation réglementaire. Deux filières professionnelles sont à votre disposition :
- Recylum pour les lampes (www.recylum.org) ;
- DEEE Pro pour le matériel électrique et électronique.
Il y en a deux :
- l’abonnement en kVA : en fonction de la puissance apparente. Pour le baisser, il faut réduire la puissance réactive et ensuite adapter l’abonnement ;
- la consommation en kW/h : en fonction de la puissance installée et temps de fonctionnement. Pour la baisser, il faut adapter le flux lumineux et le temps de fonctionnement aux besoins.
L’association Noé Conservation (www.noeconservation.org) propose une « Charte de l’éclairage durable ». Elle propose une démarche en plusieurs étapes pour acquérir les principales bases de connaissances à propos de l’impact de l’éclairage sur la biodiversité et les moyens d’agir concrètement pour éviter une majorité de nuisances :
- Initier une démarche pour un éclairage plus durable.
- Découvrir la biodiversité et l’environnement nocturne au niveau local.
- Intégrer toutes les parties prenantes au schéma d’éclairage.
- Identifier les zones propices et/ou stratégiques pour favoriser la mobilité et le développement des espèces.
- Développer les bonnes pratiques d’éclairage durable.
- Mettre en place des systèmes économes en énergie et assurer une bonne maintenance.
- Limiter le halo lumineux de la commune.
- Adapter le spectre lumineux de l’éclairage.
- Mettre en place une temporalité de l’éclairage public.
- Recycler le matériel et le confier à un éco-organisme.
- Sensibiliser les habitants aux bénéfices de l’éclairage durable et valoriser les bonnes pratiques.
- Mettre en place une démarche pédagogique auprès des citoyens, des intervenants et des partenaires sur l’éclairage durable.
- Diffuser les bonnes pratiques d’éclairage durable de la commune.