Ils sont au nombre de 3 :
- dispositif de signalement des erreurs médicamenteuses ;
- passage à une culture de déclaration ;
- interdisciplinarité.
Oui, surtout pour les activités à forte composante humaine (clinique/technique) et nécessitant de nombreux intervenants de différentes spécialités ou de catégories professionnelles distinctes, qui font la complexité des activités de soins.