Les politiques publiques ne sont « pas assez ciblées » vers la jeunesse rurale, notamment précaire, qui se sent « souvent délaissée » et subit éloignement et moindres opportunités, relève l'inspection générale des affaires sociales (Igas) dans un rapport publié mardi 7 janvier 2025.
Santé publique France vient de publier les premiers résultats d'une étude sur le bien-être et la santé mentale des enfants scolarisés en maternelle.
Rénover le parc urbain, transformer certains outils numériques, en créer de nouveaux : un rapport d'Olivier Sichel remis mardi 7 janvier 2025 au gouvernement propose des pistes pour aider le secteur saturé de la protection de l'enfance à retrouver de l'air.
Depuis le mercredi 1er janvier 2025, les logements les plus énergivores sont classés indécents et ne peuvent plus être loués, ce qui crispe les propriétaires, inquiets de se voir imposer des travaux de rénovation, malgré un grand flou autour de l'application de cette mesure.
Quelles sont les nouvelles mesures et changements en vigueur à partir du 1er janvier 2025 ? Mise en œuvre effective du service public de la petite enfance et du service public départemental de l'autonomie, revalorisation de nombreuses prestations et allocations, le début d'année apporte son traditionnel lot de changements.
À compter du 1er avril 2025, les établissements et services sociaux et médico-sociaux devront afficher dans leurs locaux la fiche synthétique des résultats de leur dernière évaluation.
Un récent décret prévoit les sanctions applicables aux établissements d'accueil du jeune enfant (EAJE) quand les gestionnaires ne respectent pas les injonctions à la suite d'un contrôle.
Feu vert in extremis dans un dossier épineux : l'accord trouvé entre partenaires sociaux sur l'assurance chômage, qui fixe les nouvelles règles d'indemnisation à compter de janvier 2025, a été validé vendredi 20 décembre 2024 par le nouveau Premier ministre.
Selon l'Observatoire des inégalités, l'augmentation de la pauvreté est le résultat de la précarisation du travail au fil des décennies.
La Cour des comptes préconise d'allonger d'un mois le congé de maternité et une meilleure indemnisation de la garde parentale.
Le 1er janvier 2025, les communes deviennent autorités organisatrices du service public de la petite enfance (SPPE). De nombreuses questions restent en suspens, en particulier sur l'aspect financier. La censure du gouvernement Barnier met fin au projet de loi de finances, en cours de discussion, qui prévoyait certaines mesures.
Au-delà du PLF et du PLFSS 2025, plusieurs textes intéressant le secteur sanitaire et social font les frais de l'ajournement des travaux du Parlement.
Une proposition de loi veut remédier à l'absence de taux et de normes d'encadrement dans les structures d'hébergement de la protection de l'enfance.
L'ANAP publie un guide et une boîte à outils afin d'accompagner pas à pas les porteurs d'un projet de Centre de ressources territorial (CRT).
La "prime de Noël", une prime exceptionnelle de fin d'année, dont le montant minimum a été fixé en 2024 à 152,45 euros, sera versée aux bénéficiaires de minima sociaux le 17 décembre 2024.
Maintenir des lieux d'accueil physiques, rendre l'information « intelligible »..., le Conseil économique, social et environnemental (Cese) appelle, dans un avis publié mercredi 27 novembre 2024, l'exécutif à agir pour rendre les droits sociaux réellement effectifs, en prenant davantage en compte les besoins des personnes concernées.
Dispositif de dépôt de plainte dans les hôpitaux élargi, sensibilisation à la soumission chimique, aide universelle d'urgence renforcée : le gouvernement a annoncé lundi 25 novembre 2024 de nouvelles mesures contre les violences faites aux femmes, réaffirmant faire de ce combat « sa priorité » en plein procès Mazan.
Paul Christophe se félicite notamment des progrès de la contractualisation avec les départements.
Faire travailler tous les actifs sans rémunération pendant sept heures de plus par an pour renflouer la Sécurité sociale ? C'est la mesure choc adoptée mercredi 21 novembre 2024 par le Sénat, qui plaide pour cette "contribution de solidarité" censée rapporter 2,5 milliards d'euros chaque année au secteur de l'autonomie.
La crise du logement est "massive" et touche "tous les segments", de l'habitat social au premier achat immobilier, poussant les maires à demander plus d'outils au gouvernement pour faire face à cette situation explosive.