L'État a été condamné mardi 2 décembre 2025 à payer un euro symbolique pour avoir tardé à organiser les séances d'information et d'éducation à la sexualité à l'école, prévues par une loi de 2001, a indiqué le tribunal administratif de Paris dans un communiqué.
La Convention citoyenne sur les temps de l'enfant préconise de restructurer les rythmes scolaires et de repenser l'organisation de l'école.
S'il faut retenir un chiffre, c'est celui-là : entre les rentrées 2024 et 2029, les effectifs des écoles maternelles et primaires vont baisser de 560 800 élèves. Ce qui de fait va changer la donne dans le maillage territorial scolaire. Et suscite quelques réflexions auprès de certains élus qui se disent qu'en période de disette budgétaire, construire ou rénover une école appelée à plus ou moins long terme à fermer n'est peut-être pas une idée lumineuse. Un forum était organisé sur le sujet lors du récent congrès des maires.
Le SNES-FSU demande au ministre de l'Éducation nationale la suppression définitive des groupes de savoir à la rentrée 2026.
Le tribunal administratif de Paris a examiné mardi 18 novembre 2025 le recours de SOS Homophobie, du Sidaction et du Planning familial qui demandent de contraindre l'État à organiser, comme le prévoit la loi depuis 2001, trois séances par an d'éducation à la vie affective et sexuelle pour tous les élèves.
Les enseignants estiment consacrer la moitié de leur temps de travail à enseigner devant les élèves.
Des journées plus courtes, mais réparties sur cinq jours, des devoirs « allégés » et faits à l'école, davantage de temps libre pour des activités extrascolaires : un panel de jeunes a présenté vendredi 7 novembre 2025 ses propositions à la Convention citoyenne chargée de réfléchir aux temps de l'enfant.
La suppression du dispositif "colos apprenantes" dans le projet de budget 2026 menace le "droit aux vacances de centaines de milliers d'enfants", selon les professionnels du secteur qui dénoncent un "recul historique".
L'ANDEV appelle les candidats aux élections municipales à placer l'éducation, de la petite enfance à la jeunesse, au cœur des politiques territoriales. « Un investissement stratégique, socle de justice sociale et de démocratie », estime l'association.
Une récente circulaire vient préciser les conditions de recrutement, d'emploi et de rémunération des assistants d'éducation (AED).
Sept ministres en trois ans. L'arrivée d'un nouveau locataire rue de Grenelle, Édouard Geffray, qui succède à Élisabeth Borne, provoque lassitude et exaspération chez les enseignants, car si ce haut fonctionnaire maîtrise les dossiers, des réformes attendues piétinent.
Le dernier recueil de fiches actions du ministère de l'Éducation nationale sur le bâti scolaire vise à adapter les établissements scolaires pour accueillir au mieux tous les usagers.
Vingt adolescents vont plancher de mercredi à vendredi pour donner le point de vue de la jeunesse aux citoyens chargés de formuler des propositions au gouvernement sur l'organisation des "temps de vie de l'enfant".
Le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a récemment publié un document rassemblant les indicateurs et les principaux enseignements de ses études sur l'éducation prioritaire.
« On n'a jamais vu ça. C'est préoccupant ». Chefs d'établissements et enseignants alertent sur la baisse des enveloppes budgétaires dans les collèges et lycées en cette rentrée, obligeant à des arbitrages difficiles sur les projets, sorties et priorités affichées par le ministère de l'Éducation.
La Cnil détaille les conditions d'installation de caméras de vidéosurveillance à l'intérieur d'un établissement scolaire.
Le baromètre 2025 de l'Association nationale des directeurs et cadres de l'éducation des villes et collectivités territoriales (ANDEV) tord le cou à certaines idées reçues sur l'accueil périscolaire.
Depuis la rentrée scolaire 2024, la loi du 27 mai 2024 impose à l'État de financer la rémunération des personnes qui accompagnent les élèves en situation de handicap (AESH), "durant le temps scolaire et le temps de pause méridienne". Mais, un an plus tard, dans certains départements l'État ne prend toujours pas ce coût en charge, ce qui oblige parfois les communes à assurer elles-mêmes le financement des AESH. Le 28 août 2025, à la veille de la rentrée scolaire, le sénateur Cédric Vial (Savoie), à l'origine du texte, a pris l'initiative d'adresser un courrier à la ministre de l'Éducation nationale alors en place, Élisabeth Borne, pour lui demander de veiller à son application.
Les textes venant modifier la réglementation des armes blanches sont parus début septembre 2025.
Heures de remplacement, activités et projets : les économies à l'œuvre dans l'Éducation nationale et la réduction de nombreuses dotations scolaires ont un "effet immédiat sur la rentrée", a dénoncé vendredi 12 septembre le SNPDEN-Unsa, principal syndicat des chefs d'établissements.