Partenariat, échanges simplifiés, véritable dialogue… autant d’éléments indispensables pour une relation durable et fructueuse entre l’acheteur et ses fournisseurs.
L’université Michel de Montaigne a rationalisé sa politique de voyages grâce à la prestation d’une agence, seule capable de répondre à tous les cas de figure à moindre coût.
L’État encourage le développement des circuits courts pour alimenter la restauration collective et s’engage même sur la voie de la préférence dans le Code des marchés publics. Pourtant, l’interdiction des critères géographiques reste d’actualité.
Poser la question de la commande publique sur un plan économique n’a rien de nouveau. Mais qu’en est-il à l’heure où l’acheteur public doit composer avec des responsabilités et une norme juridique toujours plus imposantes ?
Le SIVOM d’Ambert vient de se doter d’un système d’information géographique (SIG) en réponse à des besoins liés à de nombreuses et diverses compétences. Un marché très technique à bien ficeler en amont.
La communauté de communes a renouvelé son marché de gestion de l’aire d’accueil des gens du voyage de Coulommiers. Elle a opté pour la procédure adaptée et la négociation.
Le prix du papier A4 fluctue en fonction des cours des matières premières, de l’offre et de la demande mondiales. La clause de révision des prix est à soigner alors que les prix du papier s’envolent. Enquête sur le marché.
Le Grand Narbonne a fait évaluer son « contrat urbain de cohésion sociale » 2007-2009. Sa problématique : éviter des propositions trop disparates et généralistes.
Dans leur contrôle de l’achat public et plus particulièrement des marchés négociés, les chambres régionales et territoriales des comptes n’ont pas manqué, comme le prévoit l’article L. 211-8 du Code des juridictions financières, d’apprécier la régularité des marchés complémentaires ainsi que leurs conditions d’exécution.
Le marché de maintenance des ascenseurs et assimilés de l’université Pierre et Marie Curie (UPMC) avait tout pour être un casse-tête. C’était sans compter sur l’inventivité de ses acheteurs publics.
Contrôler le travail de ses fournisseurs permet de s’assurer de la conformité de la commande. Un moyen également d’améliorer la satisfaction des utilisateurs à court et long terme. Les éléments clefs.
Albertville, Villeneuve d’Ascq ou encore la communauté d’agglomération du Grand-Albigeaois ont été coordonnateurs de groupements de commande. Comment s’y sont-ils pris ? Enquête.
Renouvelant son marché de jeux et de jouets pour la ville de Puteaux, le service achat a porté une attention particulière, après une étude de marché, à la définition de ses lots afin d’attirer les spécialistes tout en évitant les doublons.
Introduit il y a presque 20 ans pour permettre une sanction rapide des manquements aux obligations de publicité et de mise en concurrence, le référé précontractuel a fait l’objet d’un sérieux toilettage avec l’ordonnance du 7 mai 2009.
Le SEDIF a créé, quatre ans avant la fin de son contrat de délégation, une mission d’expertise afin d’anticiper le choix du futur mode de gestion.
Sensibilisée à l’enquête par l’expérience de ses propres équipes, la Régie des transports de Marseille a particulièrement soigné ses exigences lors du lancement de son marché.
L’intégration des nouveaux CCAG est au programme de l’année 2010. Des acheteurs et des entrepreneurs les ont utilisés. Regards critiques.
Déçue par l’expérience précédente, la ville de Marange-Silvange a particulièrement encadré son marché de fourniture et de livraison de repas en liaison froide. Ici, pas de purée reconstituée !
La qualité écologique d’un produit se mesure grâce à l’analyse de son cycle de vie. Huit à 10 indicateurs existent. L’indicateur CO2 est loin d’être suffisant.
À Boulogne-Billancourt, une crèche est gérée par une entreprise privée qui n’assure ni la facturation ni les repas. Retour sur ce marché particulier.