Le Réseau français des Villes Santé (RfVS) invite à repenser les actions de la ville au prisme de la santé mentale.
Après un long parcours législatif de plus de quatre mois, la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2025 a été publiée le 28 février 2025 au Journal officiel. Basée sur un déficit prévisionnel de 22 milliards d'euros pour l'ensemble des branches de la sécurité sociale - contre les 16 milliards d'euros envisagés dans le projet de loi déposé à l'automne 2024 par le gouvernement de Michel Barnier –, elle pointe de nombreuses mesures d'économie. Les points à retenir.
Dans le cadre du Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle, le ministre chargé de la Santé, Yannick Neuder a annoncé, le 11 février 2025, la publication officielle de l'état des lieux de l'intelligence artificielle en santé en France et le lancement des travaux pour construire la feuille de route dédiée. Le point.
La fédération hospitalière de France (FHF), qui craint un déficit global de 3,5 milliards d'euros pour les hôpitaux publics en 2024, a fait part de son « soulagement », après l'adoption du budget de la Sécurité sociale lundi 17 février 2025 au soir.
Après la publication d'un récent décret relatif à la permanence des soins en établissement de santé, la Fédération hospitalière de France (FHF) appelle à la refonte des schémas territoriaux de permanence des soins en établissement de santé (PDSES) grâce à la participation de tous les acteurs.
À Mayotte, le passage du cyclone Chido a mis en exergue le rôle déterminant du directeur médical de crise (DMC) dans la coordination de la réponse hospitalière en situation d'urgence. Cette fonction récente s'impose comme un levier stratégique de la gestion des crises sanitaires, en articulation étroite avec la direction des établissements de santé. Dans sa tribune, Alain Philibert, directeur d'hôpital honoraire, souligne une évolution structurante de l'organisation hospitalière face aux situations sanitaires exceptionnelles.
Le ministre chargé de la Santé et de l'Accès aux soins vient d'annoncer un plan d'actions pour en finir avec les violences sexistes et sexuelles en santé.
Une nouvelle étape dans l'accès aux soins en zone rurale : avec l'ouverture d'un septième centre de santé dans l'Indre, le collectif Médecins Solidaires accélère son mouvement de lutte contre les déserts médicaux, au grand "soulagement" des populations concernées.
Face à la problématique de la désertification médicale et pour contrer les envies des parlementaires de réguler l'installation des médecins, la Conférence des doyens de médecine (CDD), le Conseil national de l'Ordre des médecins (CNOM), l'InterSyndicale nationale des Internes (ISNI) et l'Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF) proposent la création d'un nouveau statut : celui d'assistant territorial. Objectif : attirer les jeunes médecins dans les territoires.
Les hôpitaux et Ehpad publics, inquiets des hausses de cotisations de retraite que veut leur appliquer le gouvernement, souhaitent intégrer les discussions en cours sur les retraites, a fait savoir lundi 3 février 2025 leur fédération dans un communiqué.
Le Parlement a adopté fin janvier 2025 la proposition de loi instaurant un nombre minimum de soignants par patient hospitalisé.
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2025 entame un deuxième tour à l'Assemblée nationale. Le texte sera examiné par les députés jusqu'au 7 février selon le calendrier de l'Assemblée nationale. Le point sur le projet de loi voté par les sénateurs.
Un décret du 20 janvier 2025 autorise les infirmiers en pratique avancée (IPA) à recevoir directement des patients, sous certaines conditions.
À la suite de la parution de deux arrêtés en janvier 2024, le dispositif de prime d'engagement de carrière hospitalière a évolué. La Direction générale de l'offre de soins (DGOS) a mis en ligne fin 2024 une foire aux questions (FAQ) afin de préciser la mise en œuvre de cette prime d'engagement.
Alors que les acteurs de santé réclament plus de moyens financiers, l'Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) annonce le creusement de son déficit en 2024 malgré une reprise de l'activité. En cause : les charges plus lourdes des centres hospitaliers universitaires (CHU). Le déficit pour 2024 de l'AP-HP, prévu par l'état prévisionnel des recettes et des dépenses (EPRD) pour l'année 2025, s'élèverait à 460 millions d'euros. Ce qui représente une dégradation de 62 M€ par rapport à 2023 et 166 M€ d'écart par rapport à la cible prévue pour 2024.
Dans son rapport sur l'accès aux études de santé, du 11 décembre 2024, la Cour des comptes recommande d'instaurer « une voie unique d'accès aux études médecine, maïeutique, odontologie et pharmacie ». Cette simplification de l'accès aux études de santé nécessiterait une nouvelle réforme, six ans après la mise en place du parcours avec accès spécifique santé (PASS) et des licences avec option accès santé (LAS).
La Cour des comptes s'inquiète, dans un rapport publié vendredi 3 janvier 2025, du financement du programme de renforcement de la cybersécurité dans les hôpitaux, lancé en 2023 par le gouvernement d'Élisabeth Borne après une vague de cyberattaques destructrices.
Le 16 décembre 2024, la Direction générale de l'offre de soins (DGOS) a fait le point sur les usages numériques pouvant améliorer le système de santé à l'occasion de la publication de sa première cartographie sur ce sujet. Une cartographie qui montre comment l'intelligence artificielle (IA) impacte sur l'offre de soins mais aussi sur la gestion de l'hôpital.
Un récent décret explicite la réforme du financement des activités de médecine, chirurgie et obstétrique à compter de l'exercice 2025.
Selon la Drees, la progression des effectifs d'infirmières ne suffira pas à répondre aux besoins en soins de la population vieillissante.