Selon l’association, le 4e plan autisme doit permettre à chacun de trouver sa place dans une société inclusive et solidaire.
Les deux institutions veulent recueillir l’avis des acteurs concernés par l’accompagnent des adultes autistes pour élaborer leurs recommandations de bonnes pratiques.
Le gouvernement devrait présenter le 4e plan autisme d’ici la fin de l’année.
La CNSA vient de publier sa synthèse des rapports d’activité 2015 des centres d’action médico-sociale précoce (CAMSP).
Une intervention précoce dès l'âge de 2 ans pour aider les parents à communiquer avec leur enfant autiste permet de diminuer les symptômes de l'autisme, avec des résultats qui persistent six ans après la fin de la prise en charge. C'est ce que montre une étude britannique publiée mercredi 26 octobre dans la revue médicale The Lancet.
Pour "améliorer l'aide concrète au quotidien" des familles d'enfants autistes, le gouvernement a annoncé le 21 avril, lors du Comité national autisme, une meilleure prise en charge financière d'intervenants spécialisés, une demande de longue date des parents.
"Sans soutien, burn-out ou dépression guettent les parents", reconnaît Sandra, mère de deux garçons autistes, qui s'est battue pour leur prise en charge et s'est formée à une méthode comportementale : "les progrès ont été spectaculaires".
Un "serious game" ou jeu pédagogique, baptisé Tsara, propose d'aider ceux qui partagent la vie d'enfants autistes à trouver les bonnes réponses dans des situations du quotidien problématiques : chez le dentiste, au supermarché, à table ou dans la cour de récré.
Le gouvernement lance une campagne de communication pour sensibiliser et informer le grand public sur l’autisme.
Le gouvernement apporte un soutien financier de 1,2 million d’euros à deux projets lancés en Seine-Maritime.
L'Anesm formule des recommandations de bonnes pratiques professionnelles pour les CAMSP.
François Hollande s'est engagé jeudi 9 octobre à maintenir les engagements budgétaires en faveur du troisième plan autisme, lors d'un déplacement à Angoulême.
La mauvaise prise en charge de l'autisme en France, due notamment à un manque de personnels formés ou de places d'accueil, a un coût social et économique, souligne mardi 9 octobre le Conseil économique, social et environnemental (CESE), sans parvenir pour autant à chiffrer ces sommes.
La ministre des Solidarités et de la Cohésion a dévoilé, début avril, les grandes lignes du 3e plan autisme.
Le Comité national autisme (CNA) suivra les travaux d'élaboration et de mise en œuvre du futur Plan autisme.
François Fillon a chargé Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités, d'engager l'élaboration d'un nouveau plan autisme, décrété Grande cause nationale 2012, qui doit notamment permettre à la France de poursuivre le rattrapage de son retard en matière de prise en charge.