La Dares vient de publier une enquête relative au recours aux contrats aidés. Il y est précisé que les collectivités territoriales ne sont que 36 % à déclarer avoir l'intention de maintenir les contrats aidés, à l'issue de l'aide financière publique. En revanche, les employeurs publics semblent engager davantage de moyens dans la formation.
Le gouvernement organise, du 28 septembre au 2 octobre, une semaine dédiée au contrat de génération.
Dans la FPT, un contrat aidé sur trois est un emploi d'avenir, selon l'Observatoire de la fonction publique territoriale.
Le décret n° 2015-249 du 3 mars 2015, publié au Journal Officiel du 5 mars 2015, et portant diverses modifications des dispositions relatives au contrat de génération, a pour objet de faciliter l'accès à ce type de contrat qui peine à rencontrer le succès escompté.
Le Trophée contrat de génération récompense « trois accords exemplaires » signés par des entreprises.
Les entreprises embauchant simultanément un jeune et un senior verront l'aide financière accordée par l'État majorée.
Le ministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social veut « mettre chacun en situation de poursuivre sa carrière professionnelle jusqu'à la retraite ».
En un an, plus de la moitié des 47 mesures du plan « Priorité jeunesse » ont été mises en œuvre, selon le gouvernement.
Les entreprises de 50 à 300 salariés pourront accéder plus facilement à l'aide associée au contrat de génération.
Le ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social a présenté, le 22 octobre, un point d'étape sur le contrat de génération.
Les sociétés et mutuelles d'assurances sont les premières à signer un accord de branche relatif au contrat de génération.
En instaurant le contrat de génération, le gouvernement veut créer « un trait d'union entre les jeunes et les seniors ».
Le cap des trois millions de chômeurs ayant été franchi, la situation exige désormais d'agir vite. Des emplois d'avenir et des contrats de génération vont ainsi être institués en 2013 pour lutter contre la précarité du marché du travail et améliorer les dispositifs de maintien dans l'emploi face aux aléas conjoncturels. Ces nouveaux dispositifs résultent de la conférence sociale qui avait réuni les 9 et 10 juillet dernier, l'État, les partenaires sociaux, et les collectivités territoriales au palais d'Iéna.