Le conseil de Paris a donné son feu vert mardi 12 février à la création de deux aires d'accueil pour les gens du voyage, situées dans les bois de Boulogne (XVIe arrondissement) et Vincennes (XIIe).
Une récente circulaire vise à favoriser la fréquentation régulière d'un établissement scolaire dès l'école maternelle des élèves « itinérants », à améliorer leur scolarité et à prévenir leur déscolarisation.
Le Collectif des associations unies a réitéré, mi-juillet, sa demande d'une « action gouvernementale volontariste en faveur de l'accueil et de l'habitat des gens du voyage ».
Dominique Versini « s'inquiète du sort des enfants des gens du voyage et des Roms » du fait du mode de vie de leurs parents ou d'un retour dit « volontaire » vers un pays où leur scolarisation ne sera absolument pas garantie. Elle demande à la France d'observer leurs droits fondamentaux « sans discrimination » au moment où tous les enfants retrouvent le chemin de l'école.
La communauté de communes a renouvelé son marché de gestion de l’aire d’accueil des gens du voyage de Coulommiers. Elle a opté pour la procédure adaptée et la négociation.