Le Premier ministre a présenté, le 13 février, le plan gouvernemental pour transformer l’offre de soins.
En 2017, les établissements de santé se sont partagés 50 millions d’euros au titre de la dotation complémentaire d’incitation à l’amélioration de la qualité.
La FHF lance une enquête nationale pour mieux connaître la prise en charge des enfants et des adolescents dans les établissements publics de santé.
L'Assurance maladie et les syndicats de médecins débutent jeudi 18 janvier une négociation sur la télémédecine, que le gouvernement a décidé d'ajouter à la liste des actes remboursés par la sécurité sociale au niveau national, après des années d'expérimentations locales.
Soignants, patients et familles réclament un plan ambitieux. "Le patient est devenu un objet. Je dis aux jeunes de fuir", se désole Michel Roy, infirmier à l'hôpital psychiatrique de Rennes, en grève depuis deux mois.
Hôpitaux et cliniques doivent faire des progrès dans l'organisation de la sortie des patients, mais aussi sur la qualité des repas servis, qui restent les principaux sujets de mécontentement, selon l'étude annuelle de la Haute autorité de santé (HAS).
Les patients hospitalisés pendant au moins 48 heures peuvent donner leur avis sur leur séjour en hôpital ou en clinique grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne, rappelle la Haute autorité de santé (HAS).
Environ 120 personnes se sont rassemblées jeudi dans le hall de CHU de Caen pour dénoncer "l'engorgement" des urgences et demander des lits pour des patients parfois bloqués selon les syndicats plus de 24 heures sur des brancards, a constaté l'AFP.
Avec la méthode du patient traceur, la Haute Autorité de Santé a positionné le parcours du patient au centre de la certification des établissements de santé.
Depuis 2009, l’Université d’Aix-Marseille a ouvert un master 2 en Sciences cliniques infirmières, en partenariat avec l’EHESP, divisé en 3 spécialités : infirmier de pratique avancée en gérontologie, infirmier de pratique avancée en cancérologie et infirmier coordinateur de parcours complexes de soins. Quelle place auront ou pourront avoir les étudiants dépositaires de ce diplôme dans le système hospitalier ou dans le système de soins ?
Un hôpital peut décliner, voire disparaître. Souvent, cela aboutit à une renaissance avec des structures nouvelles, plus grandes, mieux organisées, plus rationnelles.
La mise en place du dossier médical personnel (DMP), un carnet de santé numérique peu utilisé par les professionnels, a coûté 500 millions d'euros depuis 2004, selon un document dont l'AFP a obtenu copie, révélé par le Parisien.
La nouvelle loi relative aux soins sans consentement est parue au Journal officiel du 29 septembre 2013.
La Cour des comptes vient de rendre un rapport critique sur le coût du dossier médical personnel (DMP), dont « Le Monde » a eu connaissance. Elle y dénonce une « absence particulièrement anormale et préjudiciable de stratégie et un grave défaut de continuité de méthode ».
L'Intersyndicale de défense de la psychiatrie publique et un groupe de signataires viennent d'éditer le Livre blanc 2012 de la psychiatrie française.
Après une année mouvementée avec notamment la loi du 5 juillet 2011, il semblerait que 2012 apporte aussi à la psychiatrie son lot de bouleversements. Plan psychiatrie et santé mentale, valorisation de l'activité, correctif législatif… Tout autant de sujets évoqués le 2 février lors de la journée de la FHF.
La Fédération hospitalière de France (FHF) et sa filiale SPH Conseil souhaitent lancer, le 2 février prochain, une manifestation dédiée au secteur de la psychiatrie et de la santé mentale qui a pour ambition de devenir le rendez-vous annuel du secteur en France.
Début 2011, les dirigeants de l’agence des systèmes d’information partagés de santé (Asip santé), maître d’ouvrage du dossier médical personnel (DMP), prévoyaient la création de 500 000 DMP régulièrement consultés et alimentés durant l’année 2011.
Deux ans après l’adoption de la loi « Hôpital, patients, santé, territoires », une mission d’accompagnement de la réforme a été mandatée par le ministre du Travail.
Cet indicateur, opposable, testé sur un certain nombre de CHU et de CH, devait être généralisé à tous les établissements de santé à partir de 2012. Le ministère vient d'annoncer un retard d'un an dans sa publication.