Le groupe Orpea, dans la tourmente depuis la sortie d'un livre-enquête, a rendu public mercredi 8 juin 2022 les conclusions définitives d'un audit externe confirmant des "comportements fautifs" et des "dysfonctionnements", notamment dans son usage des fonds publics.
Dans le cadre des mesures de vigilance sanitaire en vigueur jusqu'au 31 juillet 2022 (loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021), les employeurs territoriaux sont invités à placer, à titre dérogatoire, en autorisation spéciale d'absence (ASA) leurs agents vulnérables présentant un risque de développer une forme grave d'infection au Covid-19.
L'étude COVIDEHPAD, publiée fin 2021, analyse les conséquences de la première vague de l'épidémie de Covid-19 dans les Ehpad.
Le système de santé et le secteur médico-social français font face à des enjeux cruciaux, qui appellent des réponses urgentes, estime la Haute Autorité de santé.
Nourriture "insuffisante", documents financiers "insincères", excédents budgétaires dégagés sur les dotations publiques : le rapport d'enquête sur Orpea, enfin publié mardi 5 avril 2022 par le gouvernement, souligne de graves dysfonctionnements au sein du groupe privé d'Ehpad, déjà mis en cause dans le livre "Les Fossoyeurs".
Le gouvernement va finalement publier d'ici "quelques jours" le rapport d'enquête administrative sur Orpea, qui pointe des "dysfonctionnements graves" au sein du groupe d'Ehpad, a indiqué le 29 mars 2022 la ministre déléguée chargée de l'Autonomie des personnes âgées, Brigitte Bourguignon.
Des députés formulent une série de propositions pour améliorer la gestion financière et les conditions de travail dans les Ehpad.
Les 7 500 Ehpad de France seront tous contrôlés d'ici deux ans et contraints à davantage de transparence quant à leurs prestations et leur utilisation des fonds publics, a annoncé mardi 8 mars 2022 le gouvernement, qui espère ainsi "recréer la confiance" envers un secteur dans la tourmente.
Les ministres de l'Union européenne en charge de l'Enfance ont signé une déclaration commune sur la situation des enfants en Ukraine.
La ministre déléguée chargée de l'Autonomie vient d'annoncer le lancement d'un plan national triennal antichute des personnes âgées.
Quelque 600 000 personnes, souvent très âgées, malades et en perte d'autonomie, vivent dans quelque 7 400 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), des maisons de retraite médicalisées, selon des statistiques de la Drees, le service statistique des ministères sociaux.
Adapter les politiques de transport, d'habitat, de solidarité au vieillissement : depuis dix ans, le réseau des "villes amies des aînés" soutient des initiatives montrant que les séniors sont "une chance" pour la collectivité. Pas une charge.
La crise du Covid-19 a mis en lumière les "faiblesses structurelles" des Ehpad, et la nécessité d'une réforme que le gouvernement a "trop longtemps reportée", estime la Cour des comptes, en pleine tempête dans le secteur après la parution d'un livre-scandale sur les maltraitances dans ces structures.
Par la voix de l'ADF, les conseils départementaux annoncent leur volonté de « renforcer leur rôle dans les Ehpad ».
La demande d'un contrôle indépendant pour prévenir les maltraitances dans les Ehpad, formulée dès 2012 par le contrôleur des prisons mais restée lettre morte, revient au goût du jour après les révélations du livre "Les fossoyeurs".
Le gouvernement veut encourager l'émergence de 500 opérations d'habitat inclusif au cœur des Petites villes de demain.
Le gouvernement vient de présenter un bilan d’étape de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté.
Un demi-million de personnes âgées ne rencontrent jamais ou quasiment jamais d'autres personnes, un nombre qui a augmenté de 77 % en quatre ans, alerte l'association Les Petits Frères des Pauvres dans une étude publiée jeudi 30 septembre 2021.
Le retour à l'activité en présentiel des personnes vulnérables aux formes graves de la Covid-19 est désormais acté par l'État pour le 27 septembre 2021, que ce soit pour le secteur privé ou le secteur public, en bénéficiant de mesures de protection renforcées.
Une réponse ministérielle n° 23173 du 5 août 2021 traite de la question de la prise en charge financière des agents placés en autorisation spéciale d'absence en raison de la crise sanitaire.