Scolariser les enfants à partir de trois ans est désormais une obligation en France. Mais à Mayotte, jeune département qui connaît une démographie galopante, le défi est colossal et impossible à relever pour l'instant, en raison du manque criant de salles de classe.
La loi du 26 juillet 2019 pour une école de la confiance, dite "loi Blanquer", prévoit (article 14) la scolarisation obligatoire de tous les enfants dès l'âge de 3 ans et non plus à partir de 6 ans. Une mesure votée en plein été qui inquiète certaines communes, contraintes de trouver des solutions en urgence : locaux, recrutements, budgets...
Pour sa troisième rentrée, le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, va réaffirmer mardi 27 août 2019 la priorité donnée à l'école primaire et promouvoir sa réforme du baccalauréat, dont la mise en œuvre au lycée cette année suscite des inquiétudes.
WEKA et le cabinet Landot et associés vous donnent rendez-vous tous les 15 jours pour analyser l’essentiel de l’actualité juridique du monde territorial : l’expertise en 10 minutes au plus proche de vos besoins.
Deux ans avant la mise en place du nouveau baccalauréat, qui prévoit la création d'un grand oral, un rapport remis lundi 24 juin 2019 au ministre de l'Éducation, conseille de rendre l'oral "accessible au plus grand nombre", dès l'école primaire.
Jean-Michel Blanquer précise dans sa circulaire de rentrée les orientations pour l'école primaire en 2019-2020. Parmi celles-ci, les mesures pour les quartiers en éducation prioritaire et l'implication des collectivités.
Le Sénat a adopté mardi 21 mai 2019 en première lecture le projet de loi "pour une école de la confiance", qui abaisse à trois ans l'âge de l'instruction obligatoire, après en avoir effacé une mesure contestée qui ouvrait la possibilité de regroupements entre collèges et écoles primaires.
Instruction obligatoire dès 3 ans, "exemplarité" des enseignants, regroupement collège-école... Le projet de loi "pour une école de la confiance", arrive mardi 14 mai 2019 au Sénat, alors que le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer est aux prises avec les inquiétudes des enseignants et des parents.
La réforme du lycée, qui entre en vigueur en septembre prochain et vise à supprimer les séries (L, ES et S), ne changera rien à la prédominance d'une filière scientifique, souligne, jeudi 18 avril 2019, une étude du Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire.
Après avoir écrit aux enseignants, c'est aux directeurs d'école que le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer s'est adressé par lettre mercredi 3 avril 2019, pour calmer les inquiétudes causées par son projet de loi controversé, leur garantissant le maintien de leur fonction, à la veille d'une nouvelle journée de mobilisation.
La grève dans les écoles maternelles et élémentaires était suivie mardi 19 mars 2019 par près d'un quart des enseignants, selon les chiffres du ministère de l'Éducation, alors que le principal syndicat du primaire recense de son côté quelque 40 % de grévistes.
Un courrier du ministère de l'Éducation adressé la semaine dernière aux directeurs académiques et aux recteurs pour recadrer les enseignants qui ont refusé de faire passer les évaluations à leurs élèves, a sérieusement irrité les syndicats, interrogés par l'AFP.
Prendre ou ne pas prendre les mathématiques en Première ? C'est le choix, parfois cornélien, que vont bientôt devoir faire les élèves de Seconde puisque cette discipline disparaît du tronc commun et devient une spécialité au niveau particulièrement exigeant.
Initié dès juin 2017, le dédoublement des classes de CP en REP+ constitue l’une des mesures phares mise en place à l’école primaire.
Tous les lycées reçoivent cette semaine la liste des "spécialités" pouvant être proposées à leurs élèves dès la rentrée prochaine, sur fond d'inquiétude de certains établissements, en banlieue ou en zone rurale, qui craignent d'être moins bien lotis que d'autres.
L'Association des Maires de France (AMF) vient de publier une étude exclusive sur les temps périscolaires des enfants.
Le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse veut encourager les liens entre école primaire et collège.
Chaque lycée général proposera un choix de sept "spécialités" sur les douze prévues par la réforme du baccalauréat, qui remplace les séries S, ES et L, par le choix de trois disciplines en Première, a indiqué le ministre de l'Éducation lundi 3 septembre.
Le ministre de l’Éducation nationale veut faire de l’année scolaire 2018-2019 une "nouvelle étape pour bâtir l’École de la confiance".
Les régions, qui ont notamment la responsabilité des lycées, ont appelé mardi 28 août le gouvernement à agir en concertation étroite avec elles pour mettre en place les réformes annoncées, en particulier dans le domaine du numérique.