Commissaire général de police, Michel Felkay est depuis janvier 2019 directeur de la police municipale de Paris et chargé de sa création.
L'application StopCovid lancée début juin 2020 par le gouvernement pour retrouver les contacts des personnes touchées par le coronavirus a été téléchargée 2,3 millions de fois, mais n'a permis de notifier que 72 contacts à risque, selon des chiffres fournis mercredi 19 août 2020 à l'AFP par la Direction générale de la Santé.
Avec l’appui de La Poste, le ministère des Solidarités et de la Santé distribue 50 millions de masques à des publics précaires.
Les autorités préparent les esprits à des obligations locales du port du masque en extérieur : il pourra être imposé dans les zones où l'épidémie de Covid-19 remonte, une décision déjà prise vendredi 31 juillet 2020 pour la métropole de Lille.
Le gardien de la vie privée des Français, la Cnil, a demandé lundi 20 juillet 2020 au gouvernement de régler "plusieurs irrégularités" concernant la controversée application de traçage de contacts StopCovid.
Quatre mois après avoir été jugé "inutile" par les autorités pour contenir l'épidémie de coronavirus, le port du masque est désormais obligatoire dans les lieux publics clos, et pourra même valoir une amende de 135 euros en cas d'infraction.
Encore de possibles restrictions des déplacements, mais fin de la trêve hivernale, de l'encadrement des prix des gels et masques et encore retour de la carence en cas d'arrêt maladie : c'est la fin de l'état d'urgence sanitaire ce vendredi 10 juillet 2020, mais pas un retour complet à la normale.
Le Conseil d'État a ordonné vendredi 26 juin 2020 à une commune de l'Essonne de cesser d'utiliser des caméras thermiques installées dans les écoles pour lutter contre la propagation du Covid-19, sanctionnant le traitement de données sans consentement.
Installer des caméras thermiques dans des locaux municipaux alors que sévit le Covid-19 est-il légal ? La Ligue des droits de l'Homme (LDH) a demandé mardi 23 juin 2020 au Conseil d'État de sanctionner un "traitement de données personnelles" opéré "sans consentement éclairé".
Préparée dans l'urgence, l'application française de traçage de contacts contre le coronavirus StopCovid est entrée en fonction mardi 2 juin 2020 avec quelques heures de retard et doit maintenant prouver son efficacité.
Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé lundi 25 mai 2020 avoir confié à deux députées une mission de réflexion afin d'élaborer un nouveau plan de lutte contre les rodéos urbains, qui ont perduré en dépit du confinement.
La Cnil a donné son feu vert mardi 26 mai 2020 à la mise en place de StopCovid, l'application de traçage de contacts pour smartphones voulue par le gouvernement pour lutter contre l'épidémie du coronavirus.
Le Sénat a entamé lundi 4 mai 2020 l'examen du projet de loi prorogeant l'état d'urgence sanitaire, fermement décidé à y "inscrire des garanties essentielles" en vue du déconfinement, notamment sur le suivi des malades du coronavirus et leurs contacts, ainsi que sur la responsabilité des maires.
"Conforme", à condition de muscler les garanties de protection des libertés, et d'évaluer régulièrement son utilité : la Cnil a rendu dimanche 26 avril 2020 un avis très attendu sur l'application de traçage StopCovid.
Une attestation de déplacement numérique sera disponible à partir de lundi 6 avril 2020, en complément du dispositif papier déjà en place pour justifier les sorties en dépit des mesures de confinement, a annoncé Christophe Castaner.
Alors que la France entre dans sa deuxième semaine de confinement, les couvre-feux se multiplient dans les communes, qui passent à la vitesse supérieure pour faire respecter l'interdiction de déplacement liée au Coronavirus.
La France se prépare à rester confinée quelques semaines de plus pour interrompre la circulation du coronavirus, qui s'accélère avec plus de 1 000 morts, tandis qu'Emmanuel Macron effectue mercredi 25 mars 2020 une visite dans un hôpital de campagne de l'armée à Mulhouse (Est).
État d'urgence sanitaire pour deux mois, large habilitation à légiférer par ordonnances notamment pour aider les entreprises et projet de budget rectificatif : voici les principales mesures des projets de loi approuvés cette fin de semaine dernière par le Parlement face au coronavirus.
Le Conseil d'État a refusé dimanche 22 mars 2020 au soir d'ordonner le "confinement total" réclamé en urgence par certains médecins pour endiguer l'épidémie de coronavirus, mais a toutefois enjoint au gouvernement de revoir d'ici 48 heures certaines dérogations de déplacement "au caractère ambigu", notamment celles pour motifs de santé ou pour l'activité physique.
Dans l’Est où les marchés de Noël et défilés attirent des centaines de milliers de visiteurs et touristes, la menace terroriste oblige les communes à mieux sécuriser ces événements et à dépenser davantage. Exemples à Nancy, Colmar, Obernai et Montbéliard.