Le gouvernement veut "faciliter" les initiatives locales et "les organisations innovantes" dans chaque territoire pour lutter contre les déserts médicaux, ont annoncé le Premier ministre Édouard Philippe et la ministre de la Santé Agnès Buzyn en dévoilant leur plan vendredi 13 octobre à Châlus (Haute-Vienne).
Consulter son médecin via un écran interposé : une pratique qui reste marginale faute de financement et de suivi, mais que le gouvernement veut développer dans le cadre d'un plan de lutte contre les déserts médicaux présenté vendredi 13 octobre.
Selon la Cour des comptes, la télémédecine peut apporter une contribution « potentiellement majeure » à la modernisation de notre système de santé.
Indemnités de logement pour les internes, places en crèche pour les enfants... Le premier syndicat de médecins libéraux, la CSMF, a détaillé, le jeudi 20 juillet, ses pistes pour lutter contre les déserts médicaux, en prévision du plan promis pour septembre par le gouvernement.
La Poste et le département des Landes ont signé vendredi 3 juin à Mont-de-Marsan un protocole d'expérimentation destiné à favoriser le maintien des personnes âgées à domicile via un bouquet de services numériques et un accompagnement personnalisé qui seront testés à partir du dernier trimestre 2016 par une quarantaine de Landais.
Marisol Touraine annoncera prochainement une stratégie pour la e-santé à l’horizon 2020.
La signature de cette Charte marque une étape supplémentaire dans l’engagement de la Croix-Rouge française auprès des personnes en situation de handicap.
La filière de la télémédecine se donne pour objectif 1 million de patients télésuivis à l'horizon 2020, ce qui pourrait créer 15 000 emplois de services et industriels, mais à condition de "lever les freins" notamment financiers à ce déploiement.
Le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et le Collectif interassociatif sur la santé (CISS) veulent faire mieux connaître cette nouvelle modalité de prise en charge médicale.
Bracelets capteurs d'activité physique, pèse-personnes connectés ou tensiomètres reliés à un smartphone : le développement "exponentiel" des objets de santé connectés rend nécessaire une "régulation" de ce secteur, a estimé l'Ordre des médecins.
Bracelets pour contrôler l'activité physique ou tensiomètres reliés à un smartphone : les objets connectés pour la santé, qu'ils soient destinés au grand public ou aux malades, sont perçus positivement par les médecins, selon un sondage publié lundi 19 janvier.
Selon un rapport de l’IDATE intitulé "The Internet of Things Market", il y aura 80 milliards d’objets connectés en 2020, la plupart étant liés à la santé. L’estimation est de 10 millions de Français utilisateurs d'objets connectés en 2017 !
HOSPIMEDIA - Le Cnom publie un vade-mecum sur la télémédecine afin d'aider les établissements ou les professionnels dans leur démarche pratique, notamment d'un point de vue réglementaire. L'occasion pour l'ordre de rappeler ce qu'est et ce que n'est pas la télémédecine.
L’Université de la e-santé qui vient de s’achever au Technopole de Castres-Mazamet a mis en évidence le formidable potentiel de développement de ce domaine : télémédecine, objets connectés… pour lequel la France serait l’un des pays les plus innovants.
Neuf régions expérimenteront, dès la fin de cette année, la télémédecine dans le secteur médico-social.
Une norme internationale est en cours de validation pour l’interopérabilité en santé mobile.
Une clinique rennaise a annoncé mercredi avoir réalisé la première opération avec lunettes connectées en Europe, et la première au monde à vocation pédagogique en interaction avec des élèves chirurgiens, un nouveau développement pour cette technologie présentée comme riche d'applications futures.
Présentation des nouvelles mesures instituées par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014.
L'accès aux soins reste un "parcours du combattant" pour les handicapés mentaux, alors que l'allongement de leur espérance de vie accroît leurs besoins, constate l'Unapei vendredi dans un "livre blanc" préconisant une meilleure collaboration entre les secteurs sanitaire et médico-social.
HOSPIMEDIA - Le groupe hospitalier de La Rochelle-Ré-Aunis, en Charente-Maritime, a révélé le 16 avril son projet d'établissement 2013-2017. Approuvé par l'ARS Poitou-Charentes le 28 mars dernier, il répond aux orientations stratégiques du Programme régional de santé (PRS) et du Contrat pluriannuel d'objectifs de moyens (CPOM).