Il en est ainsi alors même que l’appréciation de la responsabilité de cet assuré dans la réalisation du fait dommageable relève du juge administratif. Il s’ensuit que l’appel en garantie formé par le contrôleur technique à l’encontre de l’assureur du maître d’œuvre doit être rejeté comme porté devant une juridiction incompétente pour en connaître.
Texte de référence : CAA de Douai, 2e chambre, 24 janvier 2023, n° 21DA01541, Inédit au recueil Lebon