Cette proposition de loi relative à l’organisation de la médecine du travail appelle à la généralisation d’équipes pluridisciplinaires, comprenant à la fois des médecins, des ergonomes, des psychologues mais aussi des infirmiers, et au recrutement d’internes en médecine. C’est dans ce contexte, que le conseil national de l’Ordre infirmier rappelle que 25 % des 4 000 infirmiers exerçant dans le domaine de la santé au travail ont suivi un cursus de formation complémentaire qu’il est indispensable de reconnaître.