Confrontés à l'arrivée constante de jeunes migrants isolés, les départements développent de nouveaux modes d'accueil pour faire face à des situations qu'ils connaissent mal et nécessitent une prise en charge spécifique, selon une étude de l'ODAS présentée lundi 29 janvier.
Les associations de solidarité demandent à être reçues et entendues par le président de la République.
Le congrès des départements de France se tient jeudi 19 et vendredi 20 octobre à Marseille, dans une période de tension entre le gouvernement et les collectivités sur fond de désaccords financiers et d'incertitude sur les intentions de l'exécutif.
À Rennes, une ancienne caserne accueille, depuis fin août, 78 mineurs non accompagnés.
L’association SOS Villages d’Enfants démarre une tournée « Les ateliers du goût » dans tous ses villages.
La prise en charge en centre d’accueil et d’orientation (CAO) permet aux personnes migrantes sans-abri d’avoir accès à une offre de soins adaptée et d’être orientées vers des structures correspondant à leur situation.
Le Conservatoire national des arts et métiers a initié un projet intitulé « Un métier pour les migrants ».
Médecins du monde et le Secours catholique-Caritas ont annoncé avoir saisi la justice pour contraindre l'État à prendre des mesures d'urgence sur le campement de Calais, où 6 000 personnes s'entassent dans des conditions insalubres.
Le gouvernement s’engage à créer 4 000 places d’hébergement supplémentaires pour les demandeurs d’asile d’ici fin 2016.
Le Conseil d'État a partiellement annulé vendredi 30 janvier la circulaire de la ministre de la Justice Christiane Taubira sur la répartition entre les départements de la prise en charge des mineurs isolés étrangers, estimant que les critères retenus devaient être fixés par la loi.
Le conseil général du Bas-Rhin a mis fin lundi 7 octobre à la suspension de l'accueil des mineurs étrangers isolés, assurant avoir reçu des garanties de la part de l'État pour faire face à la saturation de ses capacités de prise en charge.