Un récent arrêté fixe le montant du financement exceptionnel de l'État pour la prise en charge des MNA confiés à l'ASE en 2020.
L'Assemblée nationale vient de publier le rapport de la mission d'information sur les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés (MNA).
Le conseil départemental des Vosges voit son initiative en faveur de l’intégration sociale et professionnelle des mineurs non accompagnés récompensée par un Territoria or parrainé par l’Unicef dans la catégorie « actions en faveur des enfants et adolescents ».
La Cour des comptes prône une simplification du dispositif de protection de l'enfance, pour en renforcer l'efficacité en supprimant notamment les doublons entre les différents acteurs, dans un référé adressé au Premier ministre.
Quel est l'impact du coronavirus sur la protection de l'enfance ? Si les contaminations sont restées faibles, le suivi des mineurs protégés, tant au niveau social que scolaire, apparaît plus irrégulier pendant le confinement, selon une étude publiée mercredi 20 mai 2020.
La Seine-Saint-Denis va intenter auprès de l'ONU une action juridique contre l'État français, accusé de mal "protéger" les mineurs étrangers non-accompagnés (MNA), très nombreux dans le département.
"Discrimination" ou "outil d'aide à la gestion" ? Obligés de fournir des informations sur les réfugiés et demandeurs d'asile qu'ils accueillent, 30 associations gestionnaires de centres d'hébergement d'urgence ont dénoncé cette mesure interministérielle mercredi 16 octobre 2019 devant le Conseil d'État.
Déployée à partir de janvier 2020, la stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance montera en charge d’ici 2022.
La prise en charge des "mineurs non accompagnés" (MNA) - à 95 % de jeunes hommes étrangers qui se trouvent en France sans adulte responsable - concerne 41 000 jeunes et coûte 2 milliards d'euros par an, selon les départements qui en assument la charge.
Un financement exceptionnel de 33,68 millions d'euros va être réparti entre les départements pour contribuer à l'accueil des "mineurs non accompagnés" pris en charge en 2018, selon un arrêté publié dimanche 1er septembre 2019 au Journal officiel.
Un récent arrêté définit les modalités de la participation forfaitaire de l’État à la phase de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs non accompagnés.
Les ministères de l’Intérieur et du Logement ont rendu publique une instruction ministérielle demandant aux gestionnaires des hébergements de sans-abris de transmettre à l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii) la liste des réfugiés et des demandeurs d'asile hébergés.
La Métropole de Lyon veut améliorer l’hébergement et l’accompagnement des mineurs non accompagnés.
Le décret créant un fichier des mineurs isolés étrangers a été publié jeudi 31 janvier 2019 au Journal officiel, instaurant un dispositif très attendu par les départements pour alléger leur fardeau financier, mais redouté par les associations qui craignent un outil de lutte contre l'immigration irrégulière.
Ils sont jeunes, sans famille et leur nombre croissant pèse sur les finances des départements : les migrants mineurs isolés sont au cœur d'un projet de fichier, déjà très critiqué pour ses passerelles possibles avec la lutte contre l'immigration irrégulière.
Fin 2017, 341 000 mesures d’aide sociale à l’enfance (ASE) étaient mises en œuvre par les services départementaux en charge de la protection de l’enfance.
Une part de plus en plus importante de mineurs est accueillie dans les centres de soins de Médecins du monde, s'alarme l'ONG mardi 16 octobre 2018 dans son rapport annuel, qui dénonce une nouvelle fois les difficultés des plus pauvres à se faire soigner.
La rétention des mineurs a augmenté de 70 % l'an dernier en métropole pour atteindre le niveau record de 304 enfants enfermés, avec 147 familles, ont affirmé mardi 3 juin les associations, qui dénoncent l'efficacité "très limitée" de cet enfermement des sans-papiers en vue de leur éloignement.
Les départements considèrent les propositions de l'État sur le financement de l'accueil des mineurs étrangers isolés et des allocations individuelles de solidarité (AIS) insuffisantes et refusent de discuter des contrats financiers État/collectivités sans avancées sur ces deux dossiers.
L'ANESM vient de publier des recommandations sur l'accompagnement des mineurs non accompagnés.