Quel est l'impact du coronavirus sur la protection de l'enfance ? Si les contaminations sont restées faibles, le suivi des mineurs protégés, tant au niveau social que scolaire, apparaît plus irrégulier pendant le confinement, selon une étude publiée mercredi 20 mai 2020.
Le secrétaire d’État chargé de la Protection de l’enfance indique la possibilité d’un signalement en ligne des violences sur enfant.
Population vieillissante, au métier parfois peu considéré et à la rémunération souvent inégale, les assistants familiaux, qui accueillent chez eux des enfants placés, ont entamé jeudi 27 février 2020 des négociations avec l'État pour améliorer leur statut et leurs conditions de travail dans un secteur qui peine à se renouveler.
Pour prendre en compte tous les aspects du plan, le secrétaire d’État chargé de la Protection de l’enfance a choisi d’instaurer une gouvernance à deux niveaux.
Places en foyers, interventions chez les familles en difficulté, meilleur accompagnement des enfants placés handicapés : 30 départements bénéficieront en 2020 d'un soutien financier en faveur de la protection de l'enfance, a annoncé lundi 3 février 2020 à l'AFP Adrien Taquet.
Le gouvernement vient d’annoncer 22 nouvelles mesures pour lutter contre les violences faites aux enfants.
La Seine-Saint-Denis va intenter auprès de l'ONU une action juridique contre l'État français, accusé de mal "protéger" les mineurs étrangers non-accompagnés (MNA), très nombreux dans le département.
École, services sociaux, établissements pénitentiaires pour mineurs : le Défenseur des droits appelle lundi 18 novembre 2019 les institutions à mieux garantir les droits des enfants, après avoir été saisi de nombreux cas de violences dans des lieux accueillant les plus jeunes.
Déployée à partir de janvier 2020, la stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance montera en charge d’ici 2022.
La prise en charge des "mineurs non accompagnés" (MNA) - à 95 % de jeunes hommes étrangers qui se trouvent en France sans adulte responsable - concerne 41 000 jeunes et coûte 2 milliards d'euros par an, selon les départements qui en assument la charge.
Un financement exceptionnel de 33,68 millions d'euros va être réparti entre les départements pour contribuer à l'accueil des "mineurs non accompagnés" pris en charge en 2018, selon un arrêté publié dimanche 1er septembre 2019 au Journal officiel.
Un récent arrêté définit les modalités de la participation forfaitaire de l’État à la phase de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs non accompagnés.
Mieux former les familles d'accueil, simplifier certaines normes "incompatibles avec une vie normale" pour les enfants, faciliter l'adoption simple pour éviter l'errance dans les foyers : un rapport parlementaire publié mercredi 3 juillet 2019 propose des pistes pour mieux prendre en charge les enfants placés.
Le département de la Gironde s’engage aux côtés de l’État dans le cadre de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté.
Avec seulement 1,3 % d'augmentation, les dépenses sociales des départements ont connu en 2018 leur plus faible progression depuis plusieurs années, au détriment de la prévention, selon le rapport annuel de l'Observatoire national de l'action sociale (ODAS).
L’Assemblée nationale vient d’adopter une proposition de loi visant à renforcer l’accompagnement des jeunes majeurs vulnérables vers l’autonomie.
Le département d’Ille-et-Vilaine vient de publier un album qui sert d’outil de médiation aux assistants familiaux pour parler avec les enfants de leur placement.
Toulouse Métropole et le département de la Haute-Garonne viennent de signer deux conventions d'appui à la lutte contre la pauvreté et d'accès à l'emploi.
La Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) cherche à développer le placement en familles d’accueil des mineurs suivis au titre de l’enfance délinquante.
Développer l'accueil familial, prévenir les ruptures de parcours mais aussi les violences dans les institutions : le gouvernement a lancé mercredi 27 mars 2019 une concertation avec les départements pour mieux prendre en charge les mineurs confiés à l'aide sociale à l'enfance (ASE).