La cellule « Aide handicap école » dédiée aux parents d’élèves handicapés restera ouverte jusqu’au mois d’octobre.
Quatorze ans après la loi du 11 février 2005, qui pose le droit pour chaque enfant handicapé d'être scolarisé dans l'école de son quartier, force est de constater que l'inclusion scolaire et universitaire "avance à pas lents", souligne jeudi 18 juillet 2019 un rapport parlementaire.
Les familles d'élèves handicapés seront mieux accompagnées à la rentrée prochaine avec une cellule de réponse concernant la prise en charge de leur dossier, promet mardi 11 juin 2019 le gouvernement, qui s'engage aussi à reconnaître le métier d'accompagnant.
Alors que le projet de loi "pour une école de la confiance" est débattu au Sénat, plusieurs syndicats ont réclamé mercredi 15 mai 2019 des "mesures urgentes" pour améliorer le statut des accompagnants d'élèves handicapés que le texte, selon eux, détériore.
La région académique et l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes ont signé une convention pour mettre en place des formations croisées pour l'école inclusive.
Le gouvernement veut engager une transformation complète de l’école à la rentrée 2020.
Un récent décret assouplit les conditions de recrutement et d’emploi des accompagnants des élèves en situation de handicap.
Selon la secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, le Territoire de Belfort doit devenir un « incubateur » de la démarche « Territoire 100 % inclusif ».
Les élèves en situation de handicap bénéficieront à la rentrée de septembre de 10 900 accompagnants supplémentaires, a annoncé mercredi 18 juillet le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, qui a insisté sur le fait qu'il s'agira d'emplois "robustes", et non d'emplois aidés.
La CNSA diffuse un vade-mecum destiné à préparer au mieux la prochaine rentrée scolaire des enfants en situation de handicap.
"L'école, c'est pour tous les enfants !". Des associations ont lancé mardi 23 janvier une campagne pour la scolarisation des enfants handicapés, avec un kit de sensibilisation mis à la disposition des enseignants du primaire.
Une semaine après la rentrée, de nombreux enfants en situation de handicap restent privés d'école, faute de personnel pour les accompagner. Si le gouvernement a promis de trouver une solution pour chacun d'eux, les familles s'interrogent : quand ?
François Hollande a annoncé ce jeudi la transformation sur cinq ans des contrats aidés d'auxiliaires de vie scolaire (AVS), aujourd'hui limités dans le temps et précaires, en "contrats d'accompagnants des élèves en situation de handicap", lors de la 4e Conférence nationale du handicap.
Les familles d'enfants autistes espèrent des mesures améliorant la prise en charge de ce handicap, notamment pour les aider à payer les soins non remboursés par la Sécurité sociale, à l'occasion du "Comité national autisme", à Paris.
"Sans soutien, burn-out ou dépression guettent les parents", reconnaît Sandra, mère de deux garçons autistes, qui s'est battue pour leur prise en charge et s'est formée à une méthode comportementale : "les progrès ont été spectaculaires".
Afin de faciliter la scolarisation des élèves présentant des troubles autistiques ou des troubles envahissants du développement (TED), 50 emplois dédiés seront créés pour l’année scolaire 2016-2017.
À la suite de la remise du rapport, le gouvernement va élaborer, d’ici fin octobre, un plan d’action pour le travail social.
L'ensemble des travailleurs sociaux sont appelés à faire grève le 25 juin par une intersyndicale CGT, FA-FP (Autonomes), FO, FSU et Solidaires pour défendre leurs missions, obtenir une reconnaissance de leurs qualifications et dénoncer la marchandisation d'un secteur "vecteur de cohésion sociale".
Nombre de familles sont contraintes à de lourds sacrifices pour leurs enfants autistes et désespèrent de voir la France rattraper son retard en matière de prise en charge des enfants autistes.
Les unités localisées pour l'inclusion scolaire (Ulis), implantées dans un collège, un lycée général et technologique, ou un lycée professionnel visent à accueillir, au sein d'un petit groupe, des élèves présentant le même type de handicap. Si le nombre d’élèves accueillis augmente, l’accompagnement institutionnel ne suit pas toujours.