Le Gouvernement a annoncé le 27 février 2023 le lancement d'une expérimentation, baptisée "Aide-Budget", dans onze départements pour mieux détecter et "prévenir le surendettement et la précarité financière des ménages".
La ville de Lyon a voté jeudi 10 novembre 2022 en conseil municipal un dispositif de sélection des établissements bancaires sur des critères de "responsabilité sociale et environnementale", avant de contracter des emprunts auprès d'eux.
Entretien avec Luc Alain Vervisch, Directeur des Études de La Banque Postale.
Saint-Étienne s’est débarrassée du dernier des emprunts structurés qui ont représenté jusqu’à plus de 60 % de l’encours de sa dette, a annoncé jeudi 24 juin 2021 le maire LR de la ville, Gaël Perdriau.
La nouvelle Charte de l’inclusion bancaire doit permettre de renforcer l’efficacité du dispositif de plafonnement des frais d’incidents bancaires.
L'agence de notation Fitch a abaissé les perspectives de neuf des 19 collectivités territoriales françaises qu'elle évalue en matière de crédit, en raison des conséquences économiques de la pandémie liée au coronavirus, selon un communiqué publié jeudi 26 mars 2020.
La Caisse des dépôts, bras financier de l'État, va proposer cinq milliards d'euros de prêts d'ici à 2022 aux collectivités locales pour financer l'éducation, les transports et la gestion de l'eau, a annoncé jeudi 6 juin 2019 l'institution, prévoyant ainsi d'accélérer son offre au secteur.
Commander un café, acheter une brosse à dents ou payer sa baguette... Pour tout ça, il y a au Pays Basque l’eusko : cette monnaie alternative vient de passer le cap du million en circulation, une première en Europe pour une devise locale.
Grâce à la concurrence, les taux d'intérêt sont restés attractifs en 2017. Cinq banques sont à l'origine de 80 % des emprunts locaux, généralement consentis pour une longue durée.
Les banques françaises s’engagent pour limiter les frais d’incidents de paiement et d’irrégularités de fonctionnement de compte.
La préfecture des Pyrénées-Atlantiques et la ville de Bayonne ont trouvé un accord permettant à la municipalité de régler certaines dépenses en eusko, a annoncé jeudi 7 juin Euskal Moneta, l'association à l'origine cette monnaie locale basque créée en 2013.
La justice administrative a donné raison vendredi 4 mai à l'État, qui contestait à la ville de Bayonne la capacité de régler certaines dépenses dans une monnaie locale basque créée en 2013, l'eusko, estimant qu'une commune ne pouvait payer dans une autre monnaie que nationale.
Le juge des référés du tribunal administratif de Pau a rejeté jeudi 29 mars la requête en suspension du préfet des Pyrénées-Atlantiques qui demandait l'annulation d'une convention de la ville de Bayonne lui permettant d'effectuer certains paiements en euskos, une monnaie locale du Pays Basque, a-t-on appris auprès de l'avocat Emmanuel Glazer.
La sortie des emprunts à risque contractés par les collectivités locales dans les années 2000 a été techniquement réalisée avec succès mais pour un coût élevé pour les finances publiques, selon le rapport de la Cour des comptes diffusé mercredi 7 février.
L’Agence française de développement (AFD) a injecté près d'1,6 milliard d'euros dans 149 projets ultramarins publics et privés en 2016, selon un rapport annuel présenté jeudi 20 juillet, en présence de la ministre des Outre-mer Annick Girardin.
La Seine-Saint-Denis est "définitivement" sortie du "piège" des "emprunts toxiques" en signant jeudi 6 juillet un accord de renégociation de ses deux derniers prêts à risque, a annoncé Stéphane Troussel, le président PS du département.
La Philharmonie de Paris a coûté trois fois plus que l'enveloppe initiale du projet, et surtout à la ville de Paris, indique un rapport publié vendredi 23 septembre par la Chambre régionale des comptes d'Île-de-France.
La Cour d'appel de Versailles a débouté mercredi 21 septembre quatre communes qui réclamaient l'annulation de prêts contractés avec la banque Dexia qui s'étaient révélés toxiques, en rejetant toute faute du créancier.
Les élus de la métropole de Grenoble ont voté vendredi 1er juillet l'abandon des recours en justice pour contester des emprunts toxiques en échange de l'aide du fonds de soutien aux collectivités créé par l’État.
Dijon a soldé ses trois emprunts dits "toxiques", qui représentaient un encours total de 35,6 millions d'euros, a annoncé lundi 27 juin le maire PS de la ville François Rebsamen.