Le financement des centres de formation d'apprentis (CFA) ne diminuera pas à la rentrée 2021 en dépit du déséquilibre créé par la forte progression du nombre de contrats d'apprentissage et la baisse des ressources avec la crise, a annoncé le ministère du Travail mardi 24 novembre 2020.
Sous les regards de Banksy, d'Albert Camus ou encore d'Annie Ernaux juchés sur des étagères blanches flambant neuves, une vingtaine de jeunes apprentis écoutent attentivement leur formatrice dans les rayons de "La Ruche", la première "librairie-école" de France.
Les Régions de France ont appelé mercredi 16 septembre 2020 le gouvernement à réexaminer "les faiblesses criantes" de la réforme de l'apprentissage entrée en vigueur en début d'année, afin de l'adapter pour relancer l'économie après la crise du coronavirus.
Le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques dresse le portrait des nouveaux apprentis dans la fonction publique.
Ce plan exceptionnel doit permettre d’investir 6,5 milliards d’euros dès la rentrée 2020 pour ne laisser aucun jeune sans solution.
Un décret fixe la contribution du Centre national de la fonction publique territoriale au financement des frais de formation des apprentis. Il s'applique aux contrats d'apprentissage signés à compter du 2 janvier dernier.
Le gouvernement a dévoilé jeudi 4 juin 2020 des mesures de soutien à l'embauche d'apprentis, première pierre d'un plan sur l'emploi des jeunes attendu d'ici la mi-juillet 2020 pour éviter une "génération sacrifiée" sur le marché du travail à la rentrée.
Alors que l'apprentissage avait connu un succès record auprès des jeunes en 2019, la crise risque de briser net à la rentrée cette dynamique, selon ses promoteurs qui demandent au gouvernement des "mesures choc" d'ici juin 2020.
La Fédération nationale des travaux publics (FNTP) se félicite de la dynamique de l’apprentissage dans les travaux publics.
Le nombre de jeunes entrés en apprentissage a progressé de 16 % en 2019 pour atteindre un nouveau record de 353 000, a indiqué mardi 4 février 2020 le ministère du Travail dans un communiqué.
Les dispositions de la loi n° 2019-828 du 6 août 2019 portant transformation de la fonction publique apportent plusieurs changements concernant l'apprentissage.
Plus de 458 000 jeunes étaient en apprentissage fin juin, "un record" selon la ministre du Travail Muriel Pénicaud pour qui la formation en alternance, longtemps boudée en France "à cause d'une image fausse, décolle maintenant vraiment".
Nouvelle étape dans le "big bang" de l'apprentissage : la réforme de son financement entre en application et devrait conduire à l'ouverture de nombreux centres de formation, notamment par les entreprises, au risque cependant de fragiliser ceux existants.
À compter du 1er mars, 150 CFA offrent 28 000 places à des jeunes dans les premières « prépa apprentissage ».
Confronté à des difficultés d'embauche, le secteur des travaux publics s'engage à recruter 50 % d'apprentis en plus d'ici à 2023, ainsi qu'à accueillir 16 000 collégiens de 3e en stage d'observation, selon un partenariat signé lundi 8 octobre 2018 avec les ministères de l'Éducation nationale et du Travail.
Une étude du ministère de l'Action et des comptes publics fait un point sur les nouveaux apprentis dans la fonction publique en 2017.
Le Premier ministre entend renforcer l’attractivité de l’apprentissage pour les jeunes et les entreprises.
La région Île-de-France annonce une hausse "historique" du nombre d’apprentis.
Devenir apprenti à tout âge, autoriser les mineurs à travailler jusqu'à minuit dans la restauration, revoir la rémunération : un rapport issu d'une concertation sur l'apprentissage, publié mardi 30 janvier, avance une quarantaine de propositions pour relancer la filière.
Hervé Morin, président de Régions de France, a affirmé mardi 23 janvier que les régions pourraient sortir "de tout dispositif sur l'apprentissage" si le gouvernement décidait d'en confier le pilotage au Medef et à l'UIMM.