L'entretien professionnel remplacera la notation à compter du 1er janvier 2015.
Weka organise le jeudi 27 février 2014 un petit déjeuner consacré aux enjeux que représente la GPEC pour anticiper et préparer concrètement la mutualisation des services et les mouvements de personnels.
Compte tenu du contexte dans lequel se trouvent aujourd'hui les collectivités territoriales, confrontées à des difficultés financières et à la nécessité d'évoluer dans le management des hommes pour être plus performant, la GPEEC apparait comme un dispositif indispensable qui va s'imposer tout naturellement. Savoir identifier les compétences disponibles en interne et les valoriser, mais aussi prévenir l'usure professionnelle de certains agents, représente un des enjeux important de la GPEEC.
La gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences (GPEEC) est un sujet récurrent dans les collectivités depuis plus de 15 ans, souvent appréhendé sous une forme complexe alors qu'il aurait été préférable de le considérer d'une manière plus pragmatique.
L'entretien individuel d'évaluation, pierre angulaire de la politique de ressources humaines, fait l'objet de critiques notamment sur ses effets sur le bien-être des salariés.
L'entretien professionnel est perçu dans les collectivités territoriales comme une évolution fondamentale en matière d'évaluation individuelle des fonctionnaires et de management. Il est considéré comme un système d'appréciation de la valeur professionnelle des agents plus juste et plus rigoureux que la notation.
Le Code électoral (art. L. 52-1 2e alinéa) interdit toute promotion des actions d'une collectivité dont les élus sont candidats aux élections pendant les six mois précédant le scrutin.
Depuis 2009, tous les agents de la fonction publique ont droit à la mobilité professionnelle. Un projet de circulaire, en cours de finalisation, devrait faciliter sa mise en œuvre pratique.
De nouvelles mesures vont entrer en vigueur au profit des personnels de direction suite au « protocole de dialogue social ».