Le syndicat de tous les manageurs de santé (SMPS) refuse de voir imposer aux ingénieurs en chef hospitaliers une obligation de mobilité géographique.
Quatre récents décrets entérinent la création des corps des ingénieurs hospitaliers et des ingénieurs en chef hospitaliers au sein de la fonction publique hospitalière.
La réforme prévoit un alignement complet du statut des ingénieurs hospitaliers avec celui des deux autres versants de la fonction publique.
Un tiers des urbanistes sont employés par des collectivités ou des établissements publics. Dans le cadre de la démarche générale de reconnaissance de la profession, entreprise depuis 2018, les associations professionnelles d'urbanistes demandent à Jacqueline Gourault de créer un cadre d'emploi d'urbaniste territorial.
Entretien avec Émilie Ruin, secrétaire de l'Association des élèves ingénieurs en chef territoriaux et Yosr Kbairi, membre du bureau. Anciennes élèves ingénieures en chef de la promotion Wangari Muta Maathai.
Fin février, Frédéric Thiriez a remis, conformément à la mission qui lui a été confiée par le Premier ministre en mai 2019, son rapport comprenant 42 recommandations relatives à la haute fonction publique.
Le CNFPT propose une nouvelle offre de formation pour préparer aux examens professionnels d’administrateur territorial ou d’ingénieur territorial en chef.
Les disparités de statut rendent aujourd'hui difficile la mobilité entre la fonction publique territoriale et la fonction publique hospitalière. Sept syndicats ont écrit au ministre de l'Action et des Comptes publics pour demander qu'un décret fixe un statut commun.
Discrimination sexiste, erreur sur la durée d'avancement, diplômes requis... : l'Association des ingénieurs de France (AITF) demande au Conseil d'État d'annuler quatre des sept décrets du 26 février 2016 fixant les cadres d'emploi des ingénieurs territoriaux.
Les ingénieurs territoriaux sont-ils heureux dans leurs missions ? Une enquête menée par l'Association des ingénieurs territoriaux de France apporte des réponses mitigées.
25 000 ingénieurs territoriaux attendent depuis plusieurs années la rénovation de leurs cadres d'emplois. Les partenaires sociaux se sont opposés aux projets de décret présentés le 16 septembre dernier devant le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
Victimes de déclassement et de précarisation dans la FPT, les urbanistes souhaitent que soit créé un cadre d'emploi spécifique, reconnaissant leurs compétences et leurs qualifications.
Les contours de la profession d'urbaniste sont mal délimités. Il s'agit d'un « métier flou » qui varie selon la fonction et le statut occupés, les compétences exercées, la formation initiale poursuivie et le type de structure où le professionnel exerce son savoir-faire.