Un rapport remis au gouvernement invite à lever les obstacles pour que tous les enfants aillent à l'école.
La Drees a évalué l'impact de la crise sanitaire sur les mesures d'aide sociale départementale aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à l'enfance fin 2020.
Le texte défendu par le secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles devrait être définitivement voté fin janvier 2022.
La Défenseure des droits critique à nouveau le projet de loi relatif à la protection des enfants.
Une mission d'information sénatoriale formule 40 propositions pour instaurer une politique nationale concernant les mineurs non accompagnés (MNA).
Un récent arrêté fixe le montant du financement exceptionnel de l'État pour la prise en charge des MNA confiés à l'ASE en 2020.
Placements à l'hôtel très réduits, contrôle des personnels des foyers, meilleure rémunération des familles d'accueil : un projet de loi pour améliorer le sort des mineurs confiés à l'Aide sociale à l'enfance arrive mardi 6 juillet 2021 devant l'Assemblée, où les oppositions critiquent un "manque d'ambition".
Interdiction des placements à l'hôtel, normes d'encadrement dans les foyers, meilleure rémunération des assistants familiaux : un projet de loi visant à améliorer le sort des mineurs confiés à l'aide sociale à l'enfance a été présenté mercredi 16 juin 2021 en Conseil des ministres.
L'Assemblée nationale vient de publier le rapport de la mission d'information sur les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés (MNA).
L'ONPE fait apparaître des disparités départementales croissantes dans l'accompagnement des mineurs et des jeunes majeurs concernés par une intervention en protection de l'enfance.
La Cour des comptes prône une simplification du dispositif de protection de l'enfance, pour en renforcer l'efficacité en supprimant notamment les doublons entre les différents acteurs, dans un référé adressé au Premier ministre.
La Seine-Saint-Denis va intenter auprès de l'ONU une action juridique contre l'État français, accusé de mal "protéger" les mineurs étrangers non-accompagnés (MNA), très nombreux dans le département.
La prise en charge des "mineurs non accompagnés" (MNA) - à 95 % de jeunes hommes étrangers qui se trouvent en France sans adulte responsable - concerne 41 000 jeunes et coûte 2 milliards d'euros par an, selon les départements qui en assument la charge.
"Trêve scolaire", simplification des documents administratifs... Le collectif École pour tous a interpellé mardi 3 septembre 2019 le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer auquel il a proposé des mesures pour que "100 000 enfants", étrangers ou issus des minorités, ne soient plus déscolarisés.
Un financement exceptionnel de 33,68 millions d'euros va être réparti entre les départements pour contribuer à l'accueil des "mineurs non accompagnés" pris en charge en 2018, selon un arrêté publié dimanche 1er septembre 2019 au Journal officiel.
Un récent arrêté définit les modalités de la participation forfaitaire de l’État à la phase de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs non accompagnés.
Avec seulement 1,3 % d'augmentation, les dépenses sociales des départements ont connu en 2018 leur plus faible progression depuis plusieurs années, au détriment de la prévention, selon le rapport annuel de l'Observatoire national de l'action sociale (ODAS).
La Métropole de Lyon veut améliorer l’hébergement et l’accompagnement des mineurs non accompagnés.
L’UNIOPSS demande au gouvernement que la stratégie nationale pour la protection de l’enfance voie le jour rapidement.
Le décret créant un fichier des mineurs isolés étrangers a été publié jeudi 31 janvier 2019 au Journal officiel, instaurant un dispositif très attendu par les départements pour alléger leur fardeau financier, mais redouté par les associations qui craignent un outil de lutte contre l'immigration irrégulière.