Dans le détail, le premier degré serait concerné à hauteur de 5 700 postes et de 6 550 dans le second degré. L’enseignement privé ne serait pas épargné avec 1 350 postes à rendre. Quant aux personnels administratifs, 400 postes de personnels administratifs ne seraient pas remplacés. Dans le second degré, les 6 550 suppressions d’emplois se répartiraient ainsi : 300 postes d’assistants de langue, 1 000 postes de stagiaires en responsabilité et 5 250 postes d’enseignants.