Le message est clair : « À qui va donc profiter cette réforme à marche forcée ? Sûrement pas aux élèves, ni aux équipes d’établissements ! Sûrement pas au service public d’orientation de l’Éducation nationale ! ». La réforme envisagée est décriée et ce à plusieurs titres : pas de concertation préalable, pas de moyens supplémentaires, pas de cadrage national… L’intersyndicale alerte sur « la fin du caractère national du service public d’orientation » si le ministère s’entête dans cette voie.