Une affiche est désormais diffusée dans les établissements scolaires, les crèches, les services sociaux chargés de la petite enfance, les maisons des adolescents et les CAF. L’objectif est de « mettre en garde les familles contre certaines structures qui proposent des méthodes thérapeutiques non-approuvées et qui n’apportent rien aux enfants souffrant par exemple d’autisme ou d’hyperactivité ». Certains organismes proposant du soutien scolaire seraient également dangereux. Selon le secrétariat d’Etat à la famille et la Miviludes, entre 60.000 et 80.000 mineurs seraient concernés.