L’ARF critique le manque de dialogue entre les rectorats et les élus. « Nombre de régions n’ont pas été associées aux propositions élaborées par les rectorats, et certaines à peine informées ». L’association prévient ainsi que les délais seront difficiles à tenir s’il faut engager des dépenses en termes de locaux et d’équipements, sans compter que les budgets ont déjà été votés sans prendre en compte ces possibles modifications. En conclusion, l’association demande à ce que les décisions ministérielles soient réexaminées, estimant qu’elles « ne peuvent que dégrader les conditions de travail et de réussite des lycéens ».