Arguant que les maires doivent faire face à de grandes difficultés pour recruter des animateurs en nombre suffisant les jours de grève, la proposition de loi demande purement et simplement la suppression du droit d’accueil pour les élèves des écoles maternelles et élémentaires. Les députés estiment que c’est à l’État « de créer les conditions d’un vrai dialogue social afin d’éviter la grève, et de faire de l’Éducation nationale une priorité ».