La ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu a affirmé lundi 15 juin vouloir offrir aux quelque 5 millions de fonctionnaires une "carrière plus juste", à la veille d'une réunion où elle doit présenter des mesures pour améliorer leur rémunération.
La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, a fait savoir mercredi 27 mai qu'un dégel du point d'indice, qui sert au calcul des salaires des agents n'était pas à l'ordre du jour, au lendemain d'un courrier adressé par cinq syndicats au président François Hollande.
Oui : dans un arrêt en date du 19 mars 2015, la Cour administrative d'appel de Paris a jugé que l'indemnité de licenciement constitue une rémunération compensant la perte de gain et vient à ce titre en déduction des sommes dues à un agent irrégulièrement évincé du service.
Les contractuels de la FPH ne peuvent pas percevoir la prime de service. Lorsque l'établissement cesse de la leur verser, leur niveau de rémunération doit rester le même.
Le fonctionnaire qui transmet à plusieurs reprises, sur une période de vingt-quatre mois, ses arrêts de travail au-delà du délai de quarante-huit heures, verra sa rémunération réduite de moitié entre la date de prescription de son arrêt de travail envoyé tardivement et sa date d'envoi effectif.
Les quelque 5 millions de fonctionnaires ont à nouveau vu leurs salaires diminuer entre 2012 et 2013, avec une baisse entre 0,1 % et 0,7 % en tenant compte de l'inflation, selon une étude de l'Insee publiée lundi 27 avril 2015.
À l'occasion d'un déplacement temporaire, les agents territoriaux, fonctionnaires et agents non titulaires, peuvent prétendre à une prise en charge des frais engagés.
Les mécanismes d'attribution de la NBI ont été rénovés depuis la publication de deux décrets du 3 juillet 2006. Retour sur ces conditions d'octroi.
Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique a annoncé lundi 13 avril la suppression progressive, à partir du 1er mai, de "l'indemnité exceptionnelle" octroyée depuis 1997 aux fonctionnaires lésés par le transfert des cotisations sociales vers la CSG.
La Cour des comptes pointe du doigt dans son rapport annuel "l'inextricable maquis" des sur-rémunérations des fonctionnaires de l'État en poste outre-mer, qui coûtent plus d'un milliard d'euros par an, recommandant "une réforme d'envergure".
Un décret proroge en 2015 l’application de la GIPA et fixe la période de référence pour la mise en œuvre de l’indemnité.
Le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel (RIFSEEP) a vocation à devenir le nouvel outil indemnitaire de référence.
Une étude de l'Insee de septembre 2014 compare les emplois et les salaires dans le public et le privé. Elle révèle des moins bonnes rémunérations dans la fonction publique territoriale. Les salariés du privé n'hésitent cependant plus à l'intégrer.
Les employeurs locaux devront progressivement harmoniser les régimes indemnitaires avec ceux de l'État. C'est la fin annoncée de la prime de fonction et de résultats (PFR) qui donne trop d'importance à la performance.
Le gouvernement a annoncé mercredi 28 mai un geste en faveur des fonctionnaires les moins bien payés via un allègement de leurs cotisations retraites, une mesure destinée à leur redonner du pouvoir d'achat, mais dont les modalités restent à préciser, selon le ministère.
Tout avantage en nature fait l'objet d'une délibération nominative qui en précise les modalités d'usage.
Les modalités d'application du nouveau régime indemnitaire de référence applicable aux fonctionnaires ont été rejetées par les partenaires sociaux le 20 janvier 2014.
La loi n° 2007-209 du 19 février 2007 a rendu obligatoire l'action sociale pour les fonctionnaires territoriaux. Elle a crée un droit identique à celui que détenaient déjà les agents de la fonction publique hospitalière et de la fonction publique d'État.
Le rapport Pêcheur remis le 4 novembre au Premier ministre énonce que "s'il y a trop de fonctionnaires, il faut en réduire le nombre et non pas les sous-payer."
Les fonctionnaires les moins bien payés (catégories C), soit près de la moitié des quelque 5 millions d'agents, devraient se voir attribuer au 1er janvier 2014 des augmentations allant de 4,6 euros à quelque 46 euros mensuels, a-t-on appris vendredi 20 septembre auprès du ministère de la Fonction publique.