Depuis le 1er janvier 2024, les déchets alimentaires ne doivent plus être jetés à la poubelle, mais cette obligation européenne restera encore de longs mois très théorique pour une majorité de Français faute d'une solution locale pour collecter séparément leurs biodéchets.
Entretien avec Jean-François Vigier, maire de Bures-sur-Yvette (Essonne, 9 442 habitants), président du Siom, syndicat mixte d'ordures ménagères de la Vallée-de-Chevreuse et membre du bureau de l'Association des Maires de France (AMF).
En matière de réemploi et de recyclage des déchets municipaux, la France n'est pas sûre d'atteindre ses objectifs pour 2025, prévient la Commission européenne.
Le tri à la source des déchets alimentaires, épluchures et autres restes de table, bientôt obligatoire en France, va créer un surcoût de collecte et de traitement évalué pour la première fois dans une étude à 7 à 22 euros par an et par habitant.
Les particuliers devront disposer d'une solution pratique de tri à la source de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.
La Commission européenne a présenté, mi-mai, un plan d'action visant à assurer l'indépendance énergétique de l'Union européenne.
La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a lancé, le 28 avril 2022, un nouveau dispositif de soutien par appel d'offres pour la production de gaz renouvelable en France.
Le secteur agricole a un rôle important à jouer dans la production d'énergies renouvelables, souligne mardi 21 juillet 2020 un rapport parlementaire, qui appelle à une meilleure (in)formation des agriculteurs et à plus de soutien public au biogaz.
Avec le référentiel Carbon Agri, les éleveurs peuvent désormais valoriser financièrement la réduction de leurs émissions de CO2. En les achetant, les collectivités locales pourront compenser celles de leur territoire. Explications.
Centrale photovoltaïque, réseau de chaleur alimenté en biomasse, récupération des eaux pluviales, recyclage des manuels scolaires, sensibilisation des habitants à la transition énergétique... La ville de Bouguenais, en Loire-Atlantique, a été récompensée pour son engagement contre le réchauffement climatique.
Logements sociaux, hôpital, écoles... Castres utilise le bois-énergie comme combustible pour le chauffage, à travers un réseau de chaleur. Avec un double avantage : favoriser les énergies renouvelables et développer la filière bois locale.
Strasbourg accueillera en 2021 la première unité au monde de production d'hydrogène à partir de biomasse, a-t-on appris mardi 27 août 2019 auprès des porteurs du projet, le distributeur de gaz local R-GDS et la PME française Haffner Energy.
Le gaz renouvelable a un rôle à jouer dans la transition énergétique en France et peut tenir ses objectifs de croissance, à condition notamment de mobiliser les bio-ressources, souligne un rapport sur "le verdissement du gaz".
Le troisième plus grand réseau de chauffage urbain de France, situé en Seine-Saint-Denis, est désormais alimenté majoritairement par des énergies renouvelables, grâce à une chaufferie biomasse inaugurée mardi 4 juillet par Engie, qui a investi 33,5 millions d'euros.