Les troubles musculo-squelettiques touchent la santé des salariés mais aussi celle des collectivités en provoquant une perte de productivité. Leur prévention nécessite la participation et l'efficacité de tous. Elle doit être collective.
La prochaine réforme des retraites prendra en compte la pénibilité que rencontrent certains salariés dans leur travail. Les CHSCT seront tenus de procéder à l'analyse de l'exposition des salariés à des facteurs de pénibilité. La prévention de la pénibilité devient de ce fait un enjeu majeur pour les collectivités territoriales.
HOSPIMEDIA - Lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de l'information sociale, Marisol Touraine est notamment revenue sur deux textes importants, le projet de loi sur l'avenir du système des retraites et le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2014.
HOSPIMEDIA - Suite aux annonces du Premier ministre sur le Compte individuel pénibilité (CIP), et au souhait exprimé par la ministre de la Santé Marisol Touraine de prendre en compte la pénibilité du travail de praticien hospitalier dans le calcul des retraites, le Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs élargi (SNPhar-E) a formulé ses propositions pour une refonte des retraites des PH.
Jean-Marc Ayrault a confirmé, mardi 27 août 2013, à l'occasion d'une intervention télévisée sur le dossier délicat des retraites, la création d'un compte personnel de prévention de la pénibilité au 1er janvier 2015. À cette occasion, il a également réitéré son opposition au recul de l'âge légal de départ à la retraite.
HOSPIMEDIA - En déplacement mardi matin sur le chantier du futur tramway T6 Châtillon-Viroflay, à Vélizy-Villacoublay dans les Yvelines, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a soutenu la création d'un compte-épargne pénibilité. Cette disposition devrait donc faire partie des mesures phares de la future réforme des retraites, a confirmé à Hospimedia, une porte-parole de Matignon.
La Cour des comptes estime qu'il faudrait une définition plus objective et rigoureuse pour reconnaître des troubles musculo-squelettiques (TMS) comme maladies professionnelles.
Les risques professionnels varient selon les secteurs et les métiers. Une enquête, réalisée auprès de 54 000 salariés, compare le privé et les trois fonctions publiques.
Le ministère de l’Emploi, du Travail et de la Santé a publié, le 15 mai dernier, un ouvrage présentant les principaux volets de la politique conduite en 2011 en matière de santé et de sécurité au travail. Les maladies professionnelles continuent d’augmenter.
Un groupe de travail va plancher sur la modernisation du dispositif de réparation des séquelles issues des accidents de travail/maladies professionnelles (AT/MP).
Les différences de traitement existant entre le secteur privé et la fonction publique hospitalière seront au cœur des prochains débats nationaux du CHSCT.
Un texte modificateur qui devrait contraindre les victimes à aller au contentieux.
Les troubles musculo-squelettiques figurent dans les axes prioritaires d'actions de la Sécurité sociale et de la CNRACL.
Le montant brut de l'allocation temporaire d'invalidité (ATI) due à un fonctionnaire est obtenu en multipliant le taux d'invalidité du fonctionnaire par le traitement brut correspondant à l'indice majoré référence 240.
Publié au Journal officiel du 11 mars, un décret procède à un ajustement ponctuel du décret du 6 février 1991 modifié, qui avait été amplement remanié par le décret du 6 janvier 2010.
Le projet de décret visant à réviser le tableau n° 57-A des maladies professionnelles a rencontré une vive opposition de la part des organisations syndicales de salariés à la commission générale du COCT du 11 mars 2011.
L'Organisation Internationale du Travail (OIT) a modifié la liste des maladies professionnelles en y incluant le stress post-traumatique ainsi que les troubles mentaux et du comportement liés à des activités professionnelles.