À tout juste 32 ans, le précoce Sébastien Lecornu, nommé mardi 16 octobre 2018 ministre chargé des Collectivités territoriales, est un ancien des Républicains, proche de Bruno Le Maire, à la fibre très politique.
Les sénateurs entendent répondre à l'inquiétude des élus locaux à travers une série de recommandations pour améliorer leur protection juridique, leurs indemnités ou leur formation.
L'Association des Maires de France va lancer à Marseille le 26 septembre, avec celles des régions et des départements, "un grand appel à une relance des libertés locales et une relance de la décentralisation" pour remédier au "mouvement profond" de démission chez les élus, a annoncé le 20 septembre son président François Baroin.
Le président de la République a présenté, le mardi 18 septembre, la stratégie « Ma santé 2022 : un engagement collectif ».
Le député LREM de l'Isère Olivier Véran travaille avec d'autres parlementaires sur des propositions allant vers la suppression du "numerus clausus", qui limite le nombre d'étudiants en médecine, a-t-il indiqué mercredi 5 septembre sur France Inter.
Un projet de loi fixe les dispositions du Code de la sécurité sociale applicables aux travailleurs indépendants.
Seul écologiste de poids de la majorité, le président de l'Assemblée nationale François de Rugy a pris mardi 4 septembre la succession de Nicolas Hulot, avec pour mantra de "l'action, encore de l'action et toujours de l'action".
La Haute autorité de santé (HAS) émet 21 propositions pour améliorer le système de santé.
Les sénateurs socialistes ont annoncé mercredi 8 août saisir à leur tour le Conseil constitutionnel à propos du projet de loi relatif à l'asile et l'immigration, adopté définitivement par le Parlement mercredi 1er août.
Un récent décret définit les missions et la composition de l’Observatoire national du suicide.
Épilogue de mois de controverses, le Parlement a approuvé définitivement mercredi 1er août le projet de loi asile-immigration, texte vivement critiqué pour des raisons opposées par la droite et la gauche mais qui fut également objet de vifs débats dans la majorité.
"On se sent inutiles, il y a une désespérance face à l'arrogance de l'État", confie à l'AFP Philippe Rion, maire démissionnaire de Castillon (Alpes-Maritimes). Usés par leur fonction, de plus en plus de maires jettent l'éponge à moins de deux ans de la fin de leur mandat.
Sécurité, emploi, logement, éducation, santé : critiqué pour son manque d'ambition, le gouvernement a présenté mercredi 18 juillet sa feuille de route pour les "territoires en décrochage", défendant une "politique globale" pour rétablir "l'équité" entre les Français, en particulier les jeunes, dans tous les domaines.
Agnès Buzyn et Frédérique Vidal viennent de dévoiler le plan national 2018-2022 pour les maladies rares.
Les décideurs publics doivent être "mieux armés" pour faire face à la gestion des risques auxquels ils sont confrontés et pouvoir mener des politiques plus audacieuses, estime le Conseil d'État dans un rapport au Premier ministre diffusé lundi 25 juin.
D'inévitables "points de tension" sur la PMA et l'euthanasie, mais aussi des "valeurs" partagées : le Comité d'éthique (CCNE) a désormais trois mois pour rendre son avis sur les thèmes des États généraux de la bioéthique, après la publication mardi 5 juin de son rapport de synthèse.
Le chef de l’État a annoncé, le 22 mai, une série de mesures en faveur des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Les maires ont apporté jeudi 17 mai leur soutien aux principales orientations du rapport de Jean-Louis Borloo, qui préconise selon l'ancien ministre des mesures "simples, faisables et opérationnelles" en faveur des quartiers et des zones défavorisées.
Un maire qui démissionne pour dénoncer le "mépris de l'État", d'autres qui tirent la sonnette d'alarme sur la rénovation urbaine... la colère grandit chez les élus de banlieue, à quelques semaines d'un rapport très attendu sur la politique de la ville.
Les banlieues seront-elles les grandes oubliées du quinquennat ? À quelques semaines de la remise d'un très attendu "rapport Borloo", l'inquiétude monte parmi les élus des quartiers, qui reprochent au gouvernement de ne pas mesurer la "gravité" de la situation et de se focaliser sur le monde rural.