Les députés ont voté vendredi 19 juillet la création de la métropole de Lyon, fusion de la communauté urbaine de Lyon et de la portion du département du Rhône situé sur le périmètre urbain.
Les députés ont voté jeudi 18 juillet la création d'un Haut conseil des territoires dans le cadre du premier projet de loi sur la décentralisation.
Le parti communiste et le Front de gauche du Rhône ont demandé jeudi 4 juillet l'organisation d'un référendum d'initiative locale, à l'échelle du département, pour permettre aux habitants de se prononcer sur la création de la métropole lyonnaise et la partition du département en deux. La création de la métropole lyonnaise figure dans le premier projet de loi sur la décentralisation, affirmant la place des métropoles, adopté début juin par le Sénat.
La définition de l'intérêt communautaire est stratégique pour les communes fusionnées dans une nouvelle communauté. Il détermine les compétences de l'EPCI et de ses membres.
Les présidents de régions se sont insurgés mercredi 3 juillet contre le "choc de complexité et de bureaucratie" que constitue selon eux le dispositif, adopté à l'Assemblée nationale, de répartition des compétences entre collectivités territoriales lorsque plusieurs d'entre elles sont concernées par un dossier.
Les députés ont adopté mercredi 3 juillet en commission l'instauration au 1er janvier 2015 d'une "métropole du Grand Paris" regroupant les communes de Paris ainsi que celles des départements des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, a-t-on appris de source parlementaire.
La ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu a défendu lundi 24 juin le concept de "pays" pour mutualiser les services, voué à être relancés avec les "pôles ruraux d'aménagement et de coopération" via un amendement au volet du projet de loi sur la réforme territoriale qui sera débattu à l'automne.
Le Sénat a largement adopté jeudi 6 juin le premier projet de loi de décentralisation du gouvernement Ayrault, centré sur les métropoles, qu'il a largement remanié.
Le Sénat a donné mardi 4 juin son feu vert à la création au 1er janvier 2015 de la métropole de Lyon, première métropole française à compétences étendues, dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi de décentralisation.
Le Sénat a donné mercredi 5 juin son feu vert au nouveau statut des métropoles, dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi sur la décentralisation.
Le Sénat a rejeté lundi 3 juin la création d'une métropole de Paris prévue par le premier projet de loi de décentralisation.
Weka organise le mardi 25 juin 2013 un petit déjeuner consacré à l'impact de la réforme intercommunale dans la gestion des services publics locaux.
La ministre de la Décentralisation Marylise Lebranchu a affirmé jeudi 16 mai "qu'il n'y a pas de problème fiscal" concernant la mise en place de la métropole Aix-Marseille-Provence, prévue dans la réforme de la décentralisation et qui se heurte à l'opposition de nombreux élus locaux.
Le Sénat a annoncé mardi 14 mai la constitution d'une mission commune d'information sur l'avenir de la décentralisation, alors qu'il va examiner à partir du 30 mai le premier texte du gouvernement sur le sujet.
La ministre Marylise Lebranchu, dont la réforme sur la décentralisation présentée mercredi 10 avril en Conseil des ministres a été critiquée par l'Association des régions de France (ARF), a expliqué vendredi à Grenoble que les régions ne "pouvaient pas tout faire".
L'Association des régions de France (ARF) a réclamé "des améliorations" à la réforme de la décentralisation présentée mercredi 10 avril en Conseil des ministres, demandant notamment que soit confié aux régions "le pilotage plein et entier" des politiques d'emploi et de développement économique sur leur territoire.
Le président de l'Assemblée des départements de France (ADF) Claudy Lebreton a estimé lundi 8 avril que le rejet par les Alsaciens du projet de fusion de leurs collectivités départementales et régionale prouvait "l'attachement des Français à leur département".
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a estimé, lors d'un entretien à paraître mercredi 10 avril dans le quotidien régional la Provence, que le projet de métropole marseillaise, auquel s'oppose la grande majorité des maires des Bouches-du-Rhône, se fera "avec du temps et de la patience".
Le président du Conseil régional d'Alsace Philippe Richert (UMP) a parlé de "gâchis" dimanche 7 avril au soir, estimant que "l'impact des extrêmes" et le climat politique national expliquaient l'échec du projet de fusion des conseils généraux et du conseil régional qu'il appelait de ses vœux.
La ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu et celle déléguée à la Décentralisation Anne-Marie Escoffier "prennent acte" dimanche du résultat du référendum rejetant le projet de fusion inédite des collectivités départementales et régionale d'Alsace.