La grande région issue de la fusion des régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes s'appelle désormais "Nouvelle Aquitaine", un nom approuvé majoritairement, lundi 27 juin à Bordeaux, par l'assemblée plénière du Conseil régional présidé par le socialiste Alain Rousset.
L'assemblée régionale de Bourgogne-Franche-Comté a voté vendredi 24 juin pour l'organisation territoriale de la nouvelle région en instaurant le chef-lieu à Dijon et le siège de la région à Besançon.
La région issue de la fusion du Languedoc-Roussillon avec Midi-Pyrénées a été baptisée vendredi 24 juin Occitanie, à l'issue d'un vote de l'assemblée plénière réunie à Montpellier et de vifs débats sur ce nom controversé.
Dans un marché du transport de passagers par autocar lancé à pleine vitesse, les liaisons de moins de 100 kilomètres peinent à se développer, freinées par les régions, qui veulent créer une jurisprudence pour protéger leurs bus et leurs TER.
Sous l'influence du regroupement des collectivités, le nombre d'entités locales diminue en Europe et le nombre de régions augmente.
La grande région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes sera-t-elle baptisée "Nouvelle Aquitaine" ? Un groupe de travail chargé de réfléchir au nom de la nouvelle collectivité a remis son rapport lundi 20 juin au président, Alain Rousset, avant un vote en séance plénière le 27 juin.
La Chambre régionale des comptes a interpellé lundi les pouvoirs publics sur le manque d'espaces verts en Île-de-France et la nécessité de moderniser la compétence de la région en la matière, dans un référé adressé aux ministres de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire, publié lundi 6 juin 2016.
La présidente de Bourgogne-Franche-Comté, Marie-Guite Dufay (PS), a proposé lundi 30 mai d'établir le siège de la nouvelle région à Besançon, tandis que les assemblées du conseil régional se tiendraient à Dijon.
Le médiateur du conseil régional d'Île-de-France a fait l'objet de 81 réclamations en 2015, dont la moitié n'entrait pas dans son champ de compétence, un chiffre qui illustre une fonction encore peu connue et "la difficulté de se reconnaître dans le dédale administratif", a-t-il expliqué à l'AFP.
Les Alpes-Maritimes ont annoncé le 13 mai le lancement d’un plan "très haut débit" d'un montant total de 88 millions d'euros, dont 14 millions pour le département, qui vise à raccorder en six ans 100 % de son territoire à la fibre optique.
Harmoniser les politiques publiques et construire un nouveau pacte social avec les agents : deux défis majeurs de la procédure de fusion des régions pour les élus.
La communauté urbaine du Grand Nancy, qui compte 20 communes et 266 000 habitants, accédera le 1er juillet au statut de "métropole", comme 14 autres agglomérations en France, ce qui renforcera notamment ses compétences économiques, a annoncé vendredi 22 avril sur place le ministre des Collectivités territoriales Jean-Michel Baylet.
La "consultation citoyenne" visant à déterminer le nouveau nom de la grande région Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon sera "ouverte à tous", y compris à la "diaspora" régionale et aux lycéens et apprentis dans toute la France, a indiqué jeudi 7 avril à l'AFP l'élu régional chargé de ce processus.
Après les "Hauts-de-France", la carte des nouvelles régions s'est enrichie lundi 4 avril d'un nouveau nom : à 75 %, les internautes d'Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine ont choisi d'appeler "Grand Est" leur nouvelle grande région.
L'Île-de-France connaît un "déficit persistant d'espaces verts urbains de proximité", note la Chambre régionale des comptes dans un rapport publié mardi 22 mars, qui met en avant un manque de coordination des investissements publics en la matière et préconise la fin de l'Agence des espaces verts d'Île-de-France.
La région joue un rôle de 1er plan dans l'élaboration et la mise en œuvre de la stratégie de développement économique.
Pour ne pas diviser Ch'tis et Picards, Xavier Bertrand et sa majorité ont opté pour le nom le moins controversé en proposant lundi 14 mars que la nouvelle région Nord-Pas-de-Calais-Picardie s'appelle "Hauts-de-France", plutôt que "Nord de France" ou "Terres du Nord".
L'association Villes de France, qui rassemble des maires et des présidents d'agglomérations de taille moyenne, a pris position mardi 8 mars pour une ouverture rapide à la concurrence des lignes de train Intercités, dont l’État envisage de se désengager.
Le nouveau nom de la grande région issue de la fusion des trois anciennes régions Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes sera connu le 20 juin à l'issue d'un vote en séance plénière du conseil régional, a annoncé vendredi 26 février le conseil dans un communiqué.
La région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes a annoncé mardi 2 février avoir saisi la nouvelle Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) pour obtenir l'interdiction ou la limitation de quatre lignes d'autocars qui portent selon elle atteinte à l'équilibre économique de liaisons ferroviaires régionales.