Le ministère avait programmé l’étude de la répartition des moyens 2012 lors du comité technique ministériel du 16 décembre, mais c’était sans compter sur l’Unsa-Education qui a fait remarquer le vide juridique concernant le rôle du CT, empêchant l’examen de ce point en séance. Il n’en demeure pas moins que les documents de travail font apparaître les chiffres suivants : concernant les personnels administratifs, on constate la suppression de 400 emplois administratifs, soit 235 sur le programme « Soutien à l’Éducation nationale » et 165 sur le programme « Second degré public » ; 30 emplois seront amputés à l’administration centrale et 370 aux académies et aux établissements publics locaux d’enseignement.