500 postes sont prévus. Ces personnels devront à la fois exercer des missions de médiateur et faire respecter l’ordre. Ils seront affectés dans les établissements repérés les plus difficiles. Ils débuteront leurs missions, sur le terrain, aux alentours de Toussaint ou de Noël. Ils ne se substituent pas aux équipes mobiles de sécurité qui sont maintenues. Le SNPDEN-Unsa a accueilli favorablement cette annonce : « Pour une fois, les questions de sécurité ne sont pas abordées dans l’émotion d’un incident. ».