Le ministre a accédé à une demande quasi unanime des représentants de la communauté éducative (syndicats enseignants, lycéens, représentants de parents d’élèves…). Le Conseil supérieur des programmes avait lui aussi formulé un avis dans ce sens, suite à une saisine le 10 octobre 2013. Selon cette instance, « la procédure d’attribution de la note de vie scolaire repose sur un mécanisme trop complexe. Interprétée de façon diverse, elle ne permet pas d’établir une évaluation reconnue par tous comme claire et équitable ».