Il n’est plus fait mention de la nécessité d’un accord préalable des syndicats. Pour autant, ces derniers peuvent apposer leur signature en bas du document comme marque de leur volonté d’aboutir. Si aucun syndicat ne signait ce protocole sur les mesures catégorielles, Vincent Peillon aurait tout loisir de ne pas donner suite à la mise en œuvre effective des mesures.

L’Unsa-Éducation a déjà annoncé publiquement son intention de signer le protocole pour engager, en retour, la signature du ministre et participera aux discussions pour définir les « niveaux » des différentes prestations ainsi que l’échéancier.