L’un des arguments développés par l’ARF à l’appui de cette demande est que la période électorale rend « difficile » le respect des différentes étapes prévues dans le processus de mise en œuvre de la transformation des GRETA en groupement d’intérêt public (tenue des assises académiques, consultation des instances). Pour l’instant, le gouvernement n’a pas donné suite à cette interpellation. L’ARF ne désarme pas et envisage ainsi une déclinaison de cette initiative dans l’ensemble des régions, adressée aux recteurs et aux préfets.