La CJUE reconnaît le statut de données à caractère personnel aux informations contenues dans un registre du travail relatives aux pauses de chaque travailleur. Elle autorise cependant l’autorité nationale de surveillance des entrées, sorties et conditions de travail à y accéder dans le cadre strict de ses missions de vérification du respect de la réglementation en matière de temps de travail.
Texte de référence : Cour de justice de l’Union européenne, décision du 30 mai 2013, aff. C-342/12