Dans son arrêt du 20 décembre 2013, le Conseil d’État considère qu’en estimant que la décision du 4 janvier 2008 par laquelle le maire de la commune d’Achères a refusé d’accorder à la requérante cette autorisation exceptionnelle n’était pas soumise à l’obligation de motivation, le tribunal administratif de Versailles a commis une erreur de droit.
Par suite, et sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens du pourvoi, son jugement doit être annulé.
André Icard
Texte de référence : Conseil d’État, 1re et 6e sous-sections réunies, 20 décembre 2013, n° 362940, Inédit au recueil Lebon
Source : publié sur andre.icard