"Découvrez les personnalités qui donnent de l'élan à l'action publique."
« J'aimerais tellement que l'action des collectivités territoriales soit reconnue à sa juste valeur. La grande majorité des agents sont très impliqués et ont développé un fort sentiment d'appartenance à leur organisation. Tout n'est pas parfait mais le service rendu est très satisfaisant malgré des moyens contraints. »
« Par intérêt pour la fonction, j’ai passé le concours d’ingénieur en chef après presque dix années d’activités, et je suis devenu un acteur public par conviction pour le service public et la volonté de donner du sens à mon travail. »
« Chaque territoire a ses spécificités, sa sociologie. Renier l’essence d'un territoire et ne le traiter que comme une entité lambda c'est déjà renoncer à la mission de service public. L'unité n’est pas l'uniformité. »
« La fonction publique territoriale est un vivier de métiers passionnants. L'administration doit être en mouvement permanent, s’adapter aux attentes des usagers et offrir des services de qualité. »
« C'est effectivement cette acculturation forte à la fonction publique d'État qui facilite le partenariat, la complémentarité des politiques publiques, l'explicitation des enjeux, la mise en cohérence et la mise en mouvement, tant pour l'accompagnement des services que pour les élus. »
« On ne change pas l'administration pour être dans l'ère du temps, par conformisme ou injonction extérieure, on le fait pour améliorer le service délivré, et cela suppose que les agents puissent exercer leurs missions dans les meilleures conditions. »
« Très attaché à un service public de qualité, performant et de proximité ainsi qu’à l’amélioration de l’environnement de nos concitoyens. J’ai de l’ambition pour le service de l’intérêt général. C’est aussi le sens de mon engagement au sein du SNDGCT. »
« La force de la territoriale c'est d'avoir cette triple dimension relationnelle élus, équipes, usagers et presque matricielle. Le défi est de mettre en cohérence ces dimensions. »
« Accepter les rencontres, écouter, comprendre, décrypter, analyser, s'adapter, voilà un cocktail testé et efficace dans les relations humaines, qui sont le cœur de nos métiers. Porter une vision et une ambition pour et avec l'équipe sont également des leviers indispensables. »
« J'ai souvent à cœur de dire que nous n'avons rien à envier au secteur privé et qu'il ne tient qu'à nous de développer, d'innover, de chercher et de faire de nos collectivités des laboratoires d'idées. »
« La richesse du service public c’est justement son mode de fonctionnement, qui repose sur la définition de valeurs communes, et donc d’une « pierre de touche » à l’aune de laquelle évaluer les actions engagées. »
« Avoir contribué au développement des projets du Château de Versailles est sûrement une source de fierté professionnelle. »
« Finalement, qu’est-ce que le métier de manager hospitalier sinon celui d’un « fabricant d’harmonie » qui, à la manière d’un chorégraphe, cherche à articuler des talents et des personnalités singuliers au service d’une création collective qui a son sens en elle-même ? »
«Il faut aussi de la persévérance et une pointe de courage pour tenir le cap malgré les aléas et changements. La politique de la ville, c'est le monde de la réforme permanente. »
« Les événements gravissimes de 2015 ont profondément fait évoluer mes pratiques professionnelles et mon environnement de travail. »
« Mon rêve serait donc que la société civile considère le handicap comme une composante naturelle de la personne sans qu’il ne soit besoin de favoriser leur recrutement par la mise en œuvre d’une contrainte réglementaire. »
« Un DRH doit être un expert de l'humain, un sachant de la relation. »
« Une première forme de mon engagement consiste à tomber amoureux du territoire pour lequel je travaille. À chaque prise de poste, je prends du temps pour déambuler, ressentir et m'imprégner de la géographie et du paysage de la collectivité dans laquelle je vais exercer. Chaque espace géographique a ses particularités et un DGS ne peut réussir s'il plaque les mêmes outils sur n'importe quelle administration. Il faut croire au développement de ce territoire et avoir envie de le porter en étendard ! »
« En 2014, j'ai voulu faire l'expérience de la coopération internationale et je suis parti au Mali comme conseiller technique du ministre de la Décentralisation, pour le compte de la Coopération Française, dans le cadre politique de l'aide au retour de la paix et de la reconstruction du pays. Une expérience radicale : je n'avais jamais connu l'alternance de déceptions et de satisfactions avec un pareil rythme, et une telle intensité ! »
« Les deux changements les plus importants sur 35 ans de carrière sont les révolutions générées par les nouvelles technologies et le développement durable. L’une et l’autre sont étroitement liées pour le meilleur et pour le pire. Je défends le parti du meilleur sinon il n’y aurait plus d’espoir. »