Les contrats dans le cadre desquels les praticiens qui souhaitent réaliser du temps de travail additionnel doivent s’engager doivent désormais être consignés dans un « registre de temps travaillé ». Ce même registre qui retrace par spécialité les périodes et heures de temps de travail additionnel effectuées par chacun des praticiens concernés, doit être porté à la connaissance du service de santé au travail.